L'association des anciens élèves est dénommée « Association des ingénieurs ESME-Sudria ». Elle accueille, en plus des anciens élèves (titulaires du diplôme d'ingénieur), les actuels élèves de la formation ainsi que les diplômés et étudiants de doctorat et de master. Parmi eux :
Marie-Louise Paris (1889-1969) promotion 1921[17]. Elle crée en 1925 l'« Institut électromécanique féminin » qui forme au départ les jeunes filles au diplôme d’ingénieur électromécanicien ; cet institut deviendra en 1933 l'« École polytechnique féminine » renommée en 1995 EPF - École d'ingénieurs.
Malek Bennabi (1905-1973), non diplômé, philosophe et réformiste musulman algérien[18]
↑François Caron, « L'embellie parisienne à la Belle Époque : l'invention d'un modèle de consommation », Vingtième Siècle. Revue d'histoire no 47, juillet-septembre 1995, p. 53 Persée (texte intégral en ligne)
↑André Grelon, « Les origines et le développement des écoles d’électricité Breguet, Charliat, Sudria et Violet avant la seconde guerre mondiale », Bulletin d'histoire de l'électricité, vol. 11, no 1, , p. 121–143 (DOI10.3406/helec.1988.1058, lire en ligne, consulté le )
↑Société mathématique de France, Comptes rendus des séances, (lire en ligne)
↑France État-major de l'armée de l'air Auteur du texte, Instruction fixant l'organisation et le fonctionnement des pelotons préparatoires aux pelotons d'officiers de réserve, (lire en ligne)