École supérieure d'études internationalesInstitut québécois des hautes études internationales
L'École supérieure d'études internationales (ESEI) remplace l'Institut québécois des hautes études internationales (HEI) depuis le . Comme les HEI, il s'agit d'une école de 2e et 3e cycles de l'Université Laval, dans la ville de Québec dans la province de Québec, au Canada[1]. Cette école supérieure se consacre à l’enseignement, à la recherche et à la diffusion par le biais de publications et d’activités scientifiques. Historique et structureL'École supérieure d'études internationales est dirigée par Philippe Bourbeau, professeur au Département de science politique de l'Université Laval. Présidé par Pierre S. Pettigrew, le Conseil des HEI a aussi été présidé par Michaëlle Jean, ancienne gouverneure générale du Canada, Marcel Massé, et Paule Gauthier. Les HEI ont changé de statut et de nom après 25 ans. Il avait été créé en 1994 sur les bases du Centre québécois de relations internationales (CQRI), lui-même inauguré en 1970 à l’Université Laval. Le professeur Paul Painchaud a joué un rôle essentiel dans cet événement[2]. Les HEI ont eu pour directeurs et directrice : Louis Bélanger (2013-2019), Michel Audet (2012), Pierre Lemieux (2009-2012), l'honorable Paule Gauthier (2006-2009), Alain Prujiner (2005-2006), Louis Bélanger (2000-2005), Albert Legault (1997-2000) et Alain Prujiner (1994-1997)[2]. FormationsL'École propose des programmes de maîtrise (master) et un doctorat (Ph.D.) interdisciplinaires en études internationales, ainsi qu'un microprogramme de 2e cycle en affaires diplomatiques et stratégiques. La maîtrise dure deux ans à temps plein. Deux parcours sont possibles: professionnel (avec stage et essai) ou de recherche (avec mémoire). Et quatre volets au choix : Sécurité internationale, Développement international, Commerce international et investissement, ainsi que Relations internationales[3]. L'interdisciplinarité combine essentiellement la science politique, le droit et l'économie/gestion. Elle est mise en pratique dans les séminaires interdisciplinaires (SI), dans les activités de recherche, dans les travaux écrits des SI et de fin d'études ainsi que dans les activités parascolaires[3]. La recherchePlus de quatre-vingts chercheurs sont membres réguliers ou associés de L'école supérieure d'études internationales. Celle-ci compte plusieurs centres et groupes de recherche:
Publications
Notes et références
Lien externe
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