Élections au Conseil d'État du canton de GenèveCette page présente les résultats des élections au Conseil d'État du canton de Genève. Élection de 2023L'élection se déroule en deux tours : le premier a lieu le [1], le second le [2]. Au total, 23 candidats se disputent les sept places. Parmi les sortants, Anne Emery-Torracinta (PS), ayant atteint la limite de deux mandats imposée par son parti, ainsi que Serge Dal Busco (LC) et Mauro Poggia (MCG) ne se représentent pas. À l'issue du premier tour et des scores dispersés des candidats de droite face au camp "rose-vert", le Parti libéral-radical, Le Centre, le MCG et l'UDC décident de former une grande alliance dénommée "L'Alliance Genevoise" afin d'avoir une majorité de droite au Conseil d'État. En revanche, Pierre Maudet n'est pas associé à cette union.
Élection complémentaire de 2021L'élection se déroule en deux tours : le premier a lieu le [3], le second le [4].
Élection de 2018L'élection se déroule en deux tours : le premier a lieu le [5], le second le [6]. Au total, 31 candidats se disputent les sept places. À l'exception de François Longchamp (PLR), tous les sortants se représentent. Pierre Maudet est largement réélu au premier tour. Lors du second tour, tous les candidats sortants sont réélus sauf Luc Barthassat (PDC), distancé de plus de 10 000 voix par le socialiste Thierry Apothéloz. La PLR Nathalie Fontanet succède au PLR François Longchamp.
Élection de 2013Pour la première fois, le Conseil d'État est élu lors d'une élection à deux tours : le premier a lieu le [7], le second le [8]. Au total, 29 candidats se présentent au premier tour et 11 d'entre eux sont présentés par leurs partis le 10 novembre pour le second tour. À l'issue des élections, l'exécutif est recomposé en profondeur, seuls deux sortants étant réélus. La droite réussit à placer quatre de ses candidats, la gauche deux et, pour la première fois, le MCG accède à l'exécutif. Les élections sont également marquées par l'éviction des sortantes Michèle Künzler dès le premier tour et Isabel Rochat.
Élection partielle de 2012Une élection partielle est organisée à la suite de la démission de Mark Muller en . Elle a lieu le [9]. Le conseiller administratif Pierre Maudet est largement élu, devenant à 34 ans le plus jeune conseiller d'État genevois de l'histoire[réf. nécessaire]. Le PLR, issu de la fusion du parti libéral (2 élus) et du parti radical (1 élu), parvient ainsi à conserver son troisième siège.
Élection de 2009L'élection a lieu le [10]. Le Parti socialiste perd un siège au profit du Parti libéral, la majorité repasse à droite. À la suite d'une législature où le gouvernement était composé uniquement d'hommes, deux femmes sont élues pour remplacer deux sortants.
Élection de 2005L'élection a lieu le [11]. Le scrutin voit l'Alternative prendre la majorité (pour la première fois depuis 1933), avec la première élection en Suisse romande de deux écologistes[réf. nécessaire], le parti radical faire son retour après quatre ans d'absence et le parti libéral perdre un siège, avec la non-réélection de Micheline Spoerri.
Élection partielle de 2003Une élection partielle est organisée pour remplacer Micheline Calmy-Rey, élue en au Conseil fédéral. Elle a lieu le [12]. Le Parti socialiste parvient à conserver son siège au gouvernement grâce à l'élection de Charles Beer.
Élection de 2001L'élection a lieu le [13]. Le scrutin voit l'éviction du parti radical, avec la non-réélection de Gérard Ramseyer, et le renforcement du parti démocrate-chrétien ainsi que du parti libéral.
Élection de 1997L'élection a lieu le [14]. Le scrutin permet le retour de l'Alternative (gauche) au Conseil d'État, dont elle avait été exclue en 1993. Pour la première fois, un écologiste, Robert Cramer, y est élu.
Élection de 1993L'élection a lieu le [15]. L'Entente (droite) obtient la totalité des sept sièges.
Élection de 1989L'élection a lieu le [16]. Tous les sortants sont réélus. Le gouvernement reste majoritairement à droite avec l'élection de deux libéraux (Olivier Vodoz et Claude Haegi) et d'un radical (Guy-Olivier Segond).
Élection de 1985L'élection a lieu le [17]. Le Parti radical perd un siège avec la non-réélection d'Alain Borner. Cette élection est en revanche une victoire pour le PDC, qui parvient à décrocher un deuxième siège au gouvernement.
Élection de 1981L'élection a lieu le [18]. L'indépendant Aloys Werner, devenu conseiller d'État en début d'année lors d'une élection partielle, n'est de justesse pas réélu. Ce résultat profite au Parti socialiste, qui récupère son deuxième siège.
Notes et référencesNotesRéférences
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