: 77e régiment d'artillerie lourde à grande puissance (77e RALGP)
1919 : dissolution
février 1940 : 77e régiment d'artillerie à tracteurs tout-terrain (77e RALTTT), parfois 77e régiment d'artillerie de division légère de cavalerie (77e RADLC)
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Historique
Première Guerre mondiale
Le 77e RALGP est créé le , à la suite de la réorganisation de l'artillerie lourde française. Les 77e et 78e RALGP regroupent les canons ferroviaires installés sur épis[1].
La 1re batterie est constituée le à partir de la 66e batterie (ex-2e) du 7e régiment d'artillerie à pied (7e RAP), équipée de canons de 320[2].
L'origine des 2e et 3e batteries n'est pas donnée dans l'historique régimentaire[3].
La 4e batterie, appartenant au 2e groupe du 77e RALGP est créée le par changement de nom de la 67e batterie du 7e RAP[3]. * Les 11e, 12e et 13e batteries forment le 4e groupe du 77e en février 1918. Elles sont équipées de canons de 19 G modèle 1916(en)[4].
Les 19e et 20e batteries, du 7e groupe, sont formées à une date inconnue de l'historique régimentaire. Elles perdent leur matériel en mai 1917 et deviennent des batteries de travailleurs.
La 21e batterie, du même groupe, est formée à une date inconnue mais conserve ses canons.
Deux artilleurs malgaches. Ils sont tous les deux Morts pour la France : Lendrirana (à droite) en août 1918 et Létendra (à gauche) en 1919 (d'une blessure à l'hôpital).
Le jour de l'arrêt des combats, le , le 77e RATTT qui a conservé la majorité de son matériel, se trouve avec sa division dans la zone de Lempdes, dans le Puy-de-Dôme[14].
↑Pascal Danjou, Juin 1940 : l'impossible sursaut, Éditions du Barbotin, coll. « Trackstory » (no 5), (ISBN2-9520988-4-0, présentation en ligne), « Le corps de cavalerie, un phoénix bien mal loti », p. 15-17