Cette fondation est dynamique et de nombreuses vocations y arrivent[4]. L'abbaye administre notamment un hôpital[5]. La reine Blanche d'Anjou y est peut-être enterrée[6].
Le déclin
Au XVe siècle, le déclin s'amorce : l'abbaye voit son prestige et ses vocations diminuer. Dès 1583, les moines de l'abbaye de Poblet sont appelés en renfort ; quatre d'entre eux sont présents dans l'abbaye. En 1591, celle-ci est rattachée à Poblet[4].
↑(la) Leopold Janauschek, Originum Cisterciensium : in quo, praemissis congregationum domiciliis adjectisque tabulis chronologico-genealogicis, veterum abbatiarum a monachis habitatarum fundationes ad fidem antiquissimorum fontium primus descripsit, t. I, Vienne, , 491 p. (lire en ligne), p. 310.
↑Nicole Bouter, Unanimité et diversité cisterciennes : filiations, réseaux, relectures du XIIe au XVIIe siècle : actes du quatrième Colloque international du C.E.R.C.O.R., Dijon, 23-25 septembre 1998, Université de Saint-Étienne, , 715 p. (ISBN9782862721774, lire en ligne), p. 507.
↑(es) « Escarp, ¿sepultura de la reina doña Blanca d’Anjou? », La Voz del Bajo Cinca, ? (lire en ligne).