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Un homme vieillissant travaillant pour le mafieux Charlie Conner découvre qu'il souffre d'une encéphalopathie traumatique chronique, une maladie neuro-évolutive liée à son passé de boxeur. Sachant qu'il ne lui reste que peu de temps à vivre, il tente d'oublier son passé criminel et de renouer avec sa fille Daisy, qu'il n'a pas vue depuis des années et de rencontrer son petit-fils. Le tueur à gages va par ailleurs devoir affronter plusieurs gangsters d'un clan mafieux adverse[1].
Fiche technique
Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par le site IMDb.
Production : Michael Besman, Roger Birnbaum, Eric Gold et Warren Goz
Producteurs délégués : Jamie Buckner, Samuel Hall, Mark Kimsey, James Masciello, Michael Rothstein, Matthew Sidari, Tina Wang et Mitchell Zhang
Sociétés de production : Samuel Goldwyn Films, Sculptor Media, Electromagnetic Productions, North Five Six, Arts District Entertainment et Thug Movie Productions
Sociétés de distribution : Samuel Goldwyn Films (États-Unis), Prime Video (France), VVS Films (Canada), The Searchers (Belgique)
Version française enregistrée au studio Dubbing Brothers dirigée par Anne Rondeleux (France) et Marie Van R (Belgique), d'après une adaptation des dialogues de Juliette et Marion De La Cruz. Informations prélevées du carton du doublage français.
Production
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En septembre 2024, il est annoncé que le film est rebaptisé Absolution et qu'il sortira aux Etats-Unis le [12]. En France, il sera diffusé sur Prime Video[5].
Critique
Sur le site d'agrégation de critiques Rotten Tomatoes, le film obtient 51% d'avis favorables, pour 49 critiques et une note moyenne de 5,8⁄10[13]. Sur le site Metacritic, qui utilise une moyenne pondérée, le film obtient la note de 51⁄100 pour 12 critiques[14].
Dans Le Journal de Montréal, on peut notamment lire « Le scénario de Tony Gayton [...] hésite entre l’examen de conscience d’un tueur presque repenti à l’aube de son déclin et le long métrage de vengeance simple. Ces atermoiements – la moitié du film de 112 minutes ne contient aucune scène de violence – plombent rapidement Absolution, le spectateur ne parvenant pas à comprendre où tout cela va mener... rappelant l’ennuyeux Mémoire meurtrière de 2022. Dommage[1] ! »
Box-office
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