Paul-André Perret, après ses classes primaires à Bienne, fréquente l’École des arts industriels du Technicum de Bienne avant de compléter à Paris sa formation de graphiste à l’École nationale supérieure des arts décoratifs. En raison de la débâcle militaire de juin 1940, il rentre en Suisse pour y accomplir son service militaire. En 1946, Perret commence sa carrière à Bienne comme dessinateur publicitaire, notamment pour les montres Omega, puis s’installe en 1949 à Lausanne, travaillant comme dessinateur de presse. Ses premiers dessins paraissent dans L’Illustré, où il dispose bientôt de toute la dernière page[3].
À la « Tribune » de l'humour : 59 dessins choisis André-Paul ; légendes de Raymond Pittet [Lausanne] : "Tribune de Lausanne", 1965.
La corrida, roman de Michel Déon ; [ill. de Paul-André Perret], Lausanne : La Guilde du livre, 1964.
Le grand dadais, roman de Bertrand Poirot-Delpech ; [ill. de Paul-André Perret], Lausanne : La Guilde du livre, 1961
Les Mal aimés ; Le Feu sur la terre de François Mauriac ; ill. de Paul-André Perret, Genève : Edito-Service : distribué par le Cercle du bibliophile, [1967].
On cause, on cause..., ou, Le français tel qu'on l'écorche, de Jacques Adout ; ill. de Paul-André Perret, Bienne : Éd. du Panorama, 1971
Entre Clémence et Collavine : chroniques genevoises, de Jacques Buenzod et Paul André Perret, Genève : J. Rochat, 1980.
Jean-Pierre Coutaz, André Paul - À la pointe de l'humour, Orbe, Éditions Château & Attinger, , 208 p.
Jean-Philippe Chenaux, « André Paul ou le dessin comme élixir de longue vie », La Nation () et dans Commentaires.com (e-magazine contre le néo-conformisme) ()[5].
Jean Ammann, « André Paul a bonne mine », Arcinfo, (lire en ligne)
Martine Bernier, « André Paul continue à cultiver l'irrévérence », generations-plus.ch, (lire en ligne)