En 1978, il fonde les Éditions Guernica[1]. Il est également l'un des fondateurs de la revue Vice Versa[5]. Ayant vécu à Mexico et à Rome, il habite à Toronto depuis 1992[6].
La question de l'identité est au centre de sa démarche artistique[1]. En poésie, il publie plusieurs titres dont L'Autre rivage (VLB éditeur, 1987, Noroît, 1999), L'apostrophe qui me scinde (Noroît, 1998), Comment ça se passe (Noroît, 2001) ainsi qu'Un ami, un nuage (Noroît, 2013)[2],[8],[9].
Comme romancier, D'Alfonso fait paraître Avril, ou, L'anti-passion (VLB éditeur, 1990), Un vendredi du mois d'août (Leméac, 2004) ainsi que L'aimé (Leméac, 2007)[10],[11],[12],[13],[14],[15].
Il publie également des essais dont En italiques. Réflexions sur l’ethnicité (Éditions L’Interligne, 2005)[6],[16].
Au cinéma, il tourne des long-métrages dont Bruco (2005) et My trip to Oaxaca (2005)[3].
In italics : in defense of ethnicity, Toronto, Guernica Editions, 1996, 265 p. (ISBN1-55071-016-8)
Duologue : on culture and identity, Antonio D'Alfonso and Pasquale Verdicchio, Toronto, Guernica Editions, 1998, 119 p. (ISBN1-55071-072-9)
En italiques : réflexions sur l'ethnicité, Montréal, Éditions Balsac, 2000, 114 p. (ISBN2-921468-21-2)
Traductions
Le paysage qui bouge, de Pasquale Verdicchio, traduction de l'anglais par Antonio D'Alfonso, Montréal, Éditions du Noroît, 2000, 91 p. (ISBN2-89018-435-8)
On order and things, de Stefan Psenak, traduction par Antonio D'Alfonso, Toronto, Guernica Edition, 2003, 57 p. (ISBN1-55071-155-5)
The films of Jacques Tati, de Michel Chion, traduction par Antonio D'Alfonso, Toronto, Guernica Edition, 2003, 161 p. (ISBN155071175X)
The blueness of light : selected poems, 1988-2002, de Louise Dupré, traduction par Antonio D'Alfonso, Toronto, Guernica Edition, 2005, 71 p. (ISBN1-55071-203-9)
The world forgotten : selected poems, de Paul Bélanger, traduction par Antonio D'Alfonso, Toronto, Guernica Edition, 2006, 74 p. (ISBN978-1-55071-235-3)
The last woman : selected poems, 1991-2002, de Claudine Bertrand, traduction par Antonio D'Alfonso, Toronto, Guernica Edition, 2008, 72 p. (ISBN978-1-55071-236-0)
The man who delivers clouds : selected poems, de José Acquelin, traduction par Antonio D'Alfonso, Toronto, Guernica Edition, 2010, 59 p. (ISBN978-1-55071-317-6)
Beyond the flames, de Louise Dupré, traduction par Antonio D'Alfonso, Toronto, Guernica Edition, 2014, 100 p. (ISBN9781550718553)
The intimate frailty of mortals, de Paul Chamberland, traduction par Antonio D'Alfonso, Toronto, Guernica Edition, 2015, 185 p. (ISBN9781771710916)
Weeping will not save the stars, de François Guerrette, traduction par Antonio D'Alfonso, Toronto, Guernica Edition, 2015, 80 p. (ISBN9781771711319)
The wind under our footsteps, de Diane Régimbald, traduction par Antonio D'Alfonso, Toronto, Guernica Edition, 2015, 154 p. (ISBN9781771711432)
Toward the rising sun, de Robert Giroux, traduction par Antonio D'Alfonso, Toronto, Guernica Edition, 2016, 191 p. (ISBN9781771711807)
We are what we love, de Bernard Pozier, traduction par Antonio D'Alfonso, Toronto, Guernica Edition, 2016, 229 p. (ISBN9781771711586)
Tell me what moves you, de Phillippe Haeck, traduction par Antonio D'Alfonso, Toronto, Chicago, Buffalo, Lancaster, Guernica Edition, 2020, 58 p. (ISBN9781771835220)
Scénario
Antigone : an adaptation of Sophocle's play, Antonio D'Alfonso, Victoria, BC, Banff, AB, Ekstasis Editions, 2015, 103 p. (ISBN9781771711296)
Antigone : une adaptation de la pièce de Sophocle, Montréal, Les Éditions du Noroît, 2017, 92 p. (ISBN9782897660895)
↑ ab et cChristian Desmeules, « Le passé recomposé », Le Devoir, , p. F4.
↑ a et bPaul Bélanger, « Portrait d’un poète en liberté (Une conversation avec Antonio D’Alfonso) », Liaison, no 109, , p. 6–8 (ISSN0227-227X et 1923-2381, lire en ligne, consulté le )
↑ a et bStéphane Girard, « L’identité canadienne selon Antonio D’Alfonso, ou pour une politique de l’exil / Antonio D’Alfonso, En italiques. Réflexions sur l’ethnicité, essais, Ottawa, Éditions L’Interligne, 2005, 128 p. », Liaison, no 132, , p. 66–66 (ISSN0227-227X et 1923-2381, lire en ligne, consulté le )
↑Samuel Leduc-Frenette, « Le Canada, une bombe à retardement linguistique? », L'Informateur de Rivière-des-Prairies • Vol: 28 No: 27, , p. 7.
↑Hugues Corriveau, « Poésie - D'Alfonso dans la Cité », Le Devoir, , p. F3.
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↑Caroline Chabot, « Antonio D’Alfonso », Lettres québécoises : la revue de l'actualité littéraire, no 122, , p. 48–48 (ISSN0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le )
↑ a et b« L'Université Athabasca octroie un doctorat honorifique à Antonio D'Alfonso », ICI Radio-Canada,
↑« Prix et distinctions », Lettres québécoises : la revue de l'actualité littéraire, no 119, (ISSN0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le )