Anne Frank, sa famille et quelques-uns de leurs amis qui se cachaient dans les bureaux du père d'Anne à Amsterdam depuis pour échapper aux nazis, sont dénoncés et arrêtés. Otto Frank, le père d'Anne, sera le seul survivant.
En Normandie, début de l'opération Totalize qui se termine le . Les forces armées canadiennes, britanniques et polonaises attaquent le front allemand le long de la route de Caen à Falaise.
Sur "invitation" des Allemands, Pierre Laval quitte Paris pour Belfort. Il décide alors de cesser toutes ses fonctions gouvernementales. Pétain refuse d'opérer un tel repli.
Ignorant que la garnison de Tulle s’est rendue, la colonne Jesser se dirige sur la ville. Apprenant la reddition de la garnison allemande, Jesser menace de brûler Tulle. Un ordre de repli immédiat vers l’est, signé Adolf Hitler, est parachuté par un avion.
Premier des entretiens de Steinort, en Prusse-orientale, entre Ribbentrop et de de Brinon en vue de constituer un gouvernement français en exil, successeur du gouvernement de Vichy[5].
À Moscou, les autorités de l'Armée rouge organisent un défilé des vaincus : 200 000 prisonniers faits pendant l'offensive en Biélorussie défilent sur la place du Kremlin. Source.
Poursuite des consultations de Steinort. Ribbentrop en présence d'Abetz reçoit de Brinon et Darnand puis plus tard Déat et Marion, ce dernier représentant Laval[7].
Réunion à Steinort en Prusse-Orientale entre les Allemands Ribbentrop et Abetz et les Français de Brinon, Déat, Darnand et Marion pour la constitution d'un gouvernement français[9]
Notes et références
↑Les deux derniers convois n'ont pas été numérotés par les nazis. Le précédent porte le numéro 77.
↑Philippe-Jean Catinchi, « « La Tondue de Chartres » : une autre histoire derrière l’image », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
↑Les deux derniers convois n'ont pas été numérotés par les nazis.