Bianca BondiBianca Bondi
Bianca Bondi est une artiste sud-africaine et italienne, qui est née en 1986 et a vécu en Afrique du Sud jusqu’à ses 19 ans puis a gagné l’Europe, notamment la France. Présente désormais dans de nombreuses expositions et collections de musée, elle s’intéresse notamment à l’invisible, à la transcendance, et aux matières instables. Elle a été sélectionnée pour être pensionnaire à la Villa Médicis à Rome, est retenue pour l’exposition temporaire inaugurale collective du Musée d’art et de culture soufis MTO de Chatou en 2024-2025, et fait partie des quatre artistes finalistes en compétition pour le Prix Marcel-Duchamp 2025. BiographieElle naît en 1986 à Johannesbourg[1]. Après deux années de formation artistique à Johannesbuorg, à l’université du Witwatersrand, elle est amenée à quitter l’Afrique du Sud pour la France fin 2006, et intègre l’école nationale supérieure d'arts de Paris-Cergy jusqu’en 2012[1]. Elle participe à plusieurs expositions collectives à partir des années 2010 : notamment à Varsovie et aussi au château de La Roche-Guyon en 2014, à la Cité des Arts en 2016, à la Biennale de la jeune création à La Graineterie de Houilles en 2018, au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, à la Biennale d'art contemporain de Lyon en 2019[1],[2], à la Villa Carmignac, à Porquerolles, en 2021, et est un des artistes retenus pour l’exposition inaugurale du MACS MTO de Chatou en 2024/2025[3], pour n’en citer que quelques-unes. Elle bénéficie d’expositions dédiées à ses créations dans la deuxième partie des années 2010, notamment à la villa Belleville à Paris, ainsi qu’à la Cité des Sciences en 2017, à Johannesbourg et à Saint-Étienne en 2018, au Parvis à Tarbes en 2020[4], à la Fondation d'entreprise Louis-Vuitton[1],[5],[6], au Voyage à Nantes en 2021[7], au CAP Saint-Fons (centre d’art de Saint-Fons) en 2022, à Paris au Lafayette anticipations en 2023[1],[8], ou encore à Dallas en 2023/2024[9]. Elle est également sélectionnée pour se joindre à plusieurs résidences artistiques, dont au château de La Roche-Guyon, ou encore aux ateliers des Arques, ainsi qu’en Afrique du Sud, en Pologne et en Norvège. Elle devient également pensionnaire à la villa Médicis, un établissement culturel de l’Académie de France à Rome en 2024[6]. Elle y expose[10] et y anime un projet de réensauvagement de la forêt qui jouxte la villa[6]. Elle s’intéresse à travers ses créations à l’ésotérisme, au monde occulte, à la spiritualité, à l’écart entre le monde visible et invisible[6],[11]. Elle utilise fréquemment des matériaux qui réagissent chimiquement et évoluent dans le temps[2],[4]. En 2025, elle fait partie des quatre derniers finalistes pour l’attribution du prix Marcel Duchamp (c’est la plus jeune de ces quatre finalistes)[12],[13]. Références
Liens externes
|