La compétition est ouverte aux 14 clubs ayant acquis leur participation par leur classement au terme de la saison précédente. Ces clubs sont réunis en une poule de 14. Les clubs se rencontrent en matches aller et retour (26 matchs).
Le club sous statut VAP classé à l’une des 4 premières places du championnat de D2F et le mieux classé accède à la LBE. Les clubs classés aux 14e, 13e et 12e places sont relégués en Nationale 1 pour la saison suivante.
En vigueur depuis la saison 2012-2013, ce dispositif VAP vise à baliser et sécuriser le chemin vers la LBE pour consolider la professionnalisation du handball féminin français. Il concerne les clubs de D2F désireux de se structurer et ambitionnant, à plus ou moins court terme, d’accéder en LBE et qui s’engagent en conséquence à répondre volontairement à un cahier des charges intermédiaire, palier avant une intégration en LBE. Ce statut de club VAP est accordé par la CNCG après examen de la situation du club de D2F au regard des différents critères du cahier des charges VAP (de même nature que ceux du cahier des charges LBE). Tous les clubs qualifiés en D2F peuvent solliciter le statut VAP, qu’ils accèdent de N1, descendent de LBE ou se soient maintenus en D2. Le statut est accordé par saison sportive et il n’y a aucune attribution automatique d’une saison sur l’autre, ni à un club relégué de LBE[2].
Clubs participants
Le Handball Octeville-sur-Mer, vainqueur du barrage d'accession de Nationale 1 la saison précédente, est recalé pour raison administrative[3]. Le Reims Champagne HB, battu en barrage, décline la promotion en avançant des raisons financières[4]. Le Pouzin Handball 07 avait également vu sa montée refusée mais a saisi le CNOSF[5] qui lui a donné raison. L'ASUL Vaulx-en-Velin, douzième de la saison 2022-2023, est donc repêché.
Le , les éléments financiers du bilan présentés par les dirigeants du Noisy-le-Grand handball n'ont pas convaincus la commission de contrôle de la FFHB pour lui permettre de rester dans le secteur professionnel conditionné par le cahier des charges de la Ligue féminine de handball (LFH). Il est remplacé par le club de ASUL Vaulx en Velin, finalement repêché par la LFH[9].
Le Havre
Le Havre
Saint-Grégoire
Saint-Grégoire
Aulnoye-Aymeries
Aulnoye-Aymeries
Noisy
Noisy
Bouillargues
Bouillargues
Clermont-Ferrand
Clermont-Ferrand
Celles-sur-B.
Celles-sur-B.
Bègles
Bègles
Pessac
Pessac
Lomme
Lomme
Le Pouzin
Le Pouzin
Toulouse
Toulouse
Vaulx-en-Velin
Vaulx-en-Velin
Localisation des clubs engagés dans le championnat.
Le Sambre Avesnois Handball a été sanctionné de 2 points en février par la Commission nationale du contrôle et de gestion pour ne pas avoir su reconstituer suffisamment vite ses fonds propres[10]. Le club s'est ensuite vu retirer 3 points pour avoir fait jouer une joueuse (Sinthyche Matanu-Tenda) non autorisé lors de la victoire contre Le Pouzin HB 07 (32-24) le 29 mars lors de la 20e journée[11].
Le Noisy-le-Grand HB a été sanctionné de 4 points par la Commission nationale du contrôle et de gestion[12].
Le Bouillargues HB NM s'est vu retirer 2 points au classement, la faute à un déficit de 65 000 €[13].
↑Sébastien Chedozeau, « Handball (D2F) : comment Sambre-Avesnois s’est fait retirer deux points au classement », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
↑Sébastien Chedozeau, « Handball : trois nouveaux points retirés à Sambre-Avesnois, ça commençait à faire beaucoup », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).