le Trinquet moderne et le trinquet de la ZUP à Bayonne: pour toutes les compétitions de trinquet
le fronton de Saint-Pierre-d'Irube et le fronton Plaza-Berri à Biarritz: main nue (individuel et par équipes), paleta gomme, paleta cuir, pala corta et frontennis
Fronton Euskal-Jaï à Biarritz: pala larga et cesta punta
Le règlement impose que tous les terrains de jeu soient couverts; cela n'avait pas été le cas lors de la précédente édition et avait conduit certaines parties à ne pas pouvoir être disputées avant la fin de la compétition
Les joueurs de l'équipe des États-Unis ont payé personnellement leurs billets d'avion[3]
Treize des joueurs de l'équipe américaine sont des joueurs français ou espagnols éxilés aux États-Unis: Sauveur Bidart (natif d'Iholdy), Jean Iriaborde (d'Armendaritz), Pierre Uharriete (d'Urepel), Jean-Pierre, Xavier et Peyo Apecetche (de Saint-Jean-Pied-de-Port), Bernard Iribarren, Jean Pierre Andola et Bernard Andurein (d'Ossès), Amédée Ireiy (d'Irouléguy), André Larre (de Villefranque) et enfin Coche Recondo et Firmin Erro (de Valcarlos)[3]
Le bilan comptable du comité d'organisation présentera au 18 novembre 1978 un solde bénéficiaire de près de 79 000 francs (914 000 francs de recettes pour 835 000 francs de dépenses)[4]
↑« Bilan championnat du monde 1978 » (Bilan financier figurant en annexe à la réunion du comité directeur de la FFPB du 18 novembre 1978), (consulté le )