Le cinéma yéménite est relativement peu développé, seuls deux films ont été réalisés en 2008 au Yémen.
Sorti en 2005 au cinéma, A New Day in Old Sana'a traite du mariage d'un jeune homme qui doit faire le choix entre un mariage traditionnel ou vivre avec la femme qu'il aime. Le film s'est heurté à plusieurs difficultés et notamment aux musulmans conservateurs ; un acteur autrichien a été poignardé pour être apparu dans un film, le réalisateur a fait appel à une actrice libanaise pour le rôle principal féminin par réticence des femmes yéménites, le plateau a été pris d'assaut le premier jour du tournage par un groupe d'extrémistes islamiques. Enfin, les administrations gouvernementales posent des problèmes considérables pour le tournage, le scénario, le contenu...
En , le ministre yéménite de l'intérieur, Mutahar al-Masri soutient le lancement d'un nouveau long métrage visant à éduquer le public sur les conséquences de l'extrémisme islamiste, Le pari perdant, produit par Fadl al-Olfi. L'intrigue suit deux djihadistes yéménites, qui reviennent chez eux après plusieurs années à l'étranger. Ils sont renvoyés par Al-Qaïda pour recruter de nouveaux membres et mener des opérations meurtrières au Yémen.
Films yéménites
2010
Socotra, the Land of Djinns (2016), 65 min, documentaire, Jordi Esteva
Rasha (2016), 6 min, cm, documentaire, Sufian Abulohom
Socotra: The Hidden Land (2015), 40 min, cm, Carles Cardelús
An Educated Woman (2015), 18 min, cm, documentaire, Katebah Al-Olefi, Khawla Al-Olefi, Emilya Fesunoff Piansay
Broken Paths (2015), 8 min, cm, policier, Fawzi Yahya
Les Mille et Une Nuits (Il fiore delle mille e una notte) (Italien - 1974 - P P Pasolini) - Le film a provoqué une controverse quand on a appris l'existence de scènes érotiques.
Les Murs de Sanaa (Le mura di sana) (Italien, court métrage - 1964 - P P Pasolini)