Depuis 1931, le canton de Genève compte 45 communes[1], dont la ville de Genève est le chef-lieu. Il n'est pas divisé en districts.
Le canton s'étend également sur le Léman, sans que cette zone ne fasse partie d'aucune commune[1] ; elle est comprise dans la liste à fins de comparaison.
Au nord-est, la commune de Céligny n'est pas contiguë avec le reste du territoire du canton ; elle est composée de deux fragments distincts, enclavés dans le canton de Vaud.
Ce terme désigne les territoires cédés à Genève par la France dans le pays de Gex en 1815 et par la Savoie en 1816[5]. Le territoire genevois était jusqu'alors morcelé. Le nouveau canton rejoint ainsi la Confédération Suisse avec un territoire d'un seul tenant et rattaché physiquement à la Suisse. En même temps des zones franches sont créées, comprenant le Pays de Gex, St-Julien, le Salève et Annemasse. Ces lignes des douanes reculées garantissent à l'intérieur des zones franches la libre circulation des denrées vers Genève.
À la suite de la formation du canton de Genève et du découpage initial du territoire des scissions de communes se sont produites au milieu du XIXe siècle, le tableau ci-dessous dresse la liste de ces scissions.
Il est à noter que, généralement, les communes catholiques sont des communes faisant partie des « communes réunies » [N 1].
Bien que ces communes soient historiquement catholiques ou protestantes, aujourd'hui certaines accueillent, sur leur territoire, les deux religions (ou encore d'autres religions telles que orthodoxes, musulmans et juifs).
Notes et références
Notes
↑Cependant il existe un exception avec la commune d'Anières. Cette commune fait partie des « communes réunies » mais est protestante.