Cécile Wajsbrot étudie à Paris au lycée Victor-Duruy. Elle travaille d'abord comme professeure agrégée de lettres modernes, avant de quitter l'Éducation nationale et de se lancer dans le journalisme free-lance et dans la traduction, métiers qui lui permettent d'écrire.
Fabergé et les maîtres orfèvres russes, sous la direction de Gerard Hill ; textes de Gerard Hill, G. G. Smorodinova, Bella Lazarevna Ulianova ; traduit par Cécile Wajsbrot, avec la collab. technique de Léon Sas, Belfond, 1990
Invitée du Berliner Künstlerprogramm du DAAD pour un an, 2007-2008.
Références
↑Nathalie Dalain, « Agathe et les garçons », Le Matricule des Anges, no 25, (lire en ligne).
↑Ingrid Martina Hermine Reichel, Le métro, un non-lieu de mémoire collective à l’exemple du roman "Nation par Barbès" de Cécile Wajsbrot, mémoire de maîtrise, Université de Vienne, Fakultät für Philosophie und Bildungswissenschaft, 2019 Lire en ligne.
↑Fabien Gris, « Des paysages du peintre à la ville prise dans l'Histoire: Caspar Friedrich Strasse de Cécile Wajsbrot », dans Revue critique de fixxion française contemporaine, n° 8, 2014, p. 15-27. Lire en ligne.
↑Alain Deniau, « Écho à Michel Hessel : Cécile Wajsbrot. Le Réel de la Shoah, chose effacée ou traces de l'impossible à dire ? », dans Che vuoi, 2005, vol. 2, n° 24, p. 201-202 Lire en ligne.
↑Agnès Séverin, « Conversations avec le maître de Cécile Wajsbrot Denoël », Le Figaro, (lire en ligne).
↑Cornelia Klettke, « La communication des intensités émotionnelles : hétérotopies et hétérologies dans L’Île aux musées de Cécile Wajsbrot », dans Après le Mur : Berlin dans la littérature francophone. Actes du colloque du 4-6 juillet 2013, Frankreichzentrum de la Freie Universität, Berlin, Tübingen, Narr, 2014, p. 197-223.
↑Raphaëlle Leyris, « L'Hydre de Lerne, de Cécile Wajsbrot : l'écriture au jour le jour de Cécile Wajsbrot », dans Le Monde, 3 mars 2011 Lire en ligne.
↑Feya Dervitsiotis, « Traduire écologiquement Woolf », En attendant Nadeau, (lire en ligne).
↑Sophie Deltin, « Résonances primitives », dans Le Matricule des anges, n° 175, juillet 2016 Lire en ligne.
↑Annelies Schulte Nordholt, « Osnabrück, Berlin : « villes promises » et villes vécues. Les dessous du dialogue d’Hélène Cixous et Cécile Wajsbrot dans Une autobiographie allemande », dans Écriture des origines, origines de l’écriture. Hélène Cixous, Leyde, Brill, (DOIhttps://doi.org/10.1163/9789004417335_010), p. 124–140.
↑Agathe Auproux, « Cécile Wajsbrot récompensée par l'Académie de Berlin », dans Livres Hebdo, 7 juin 2016 Lire en ligne.
Voir aussi
Bibliographie
Katja Schubert, « Les temps qui tremblent ou un passé possible de ce présent? A propos de l’oeuvre de Cécile Wajsbrot », dans Témoignages de l’après-Auschwitz dans la littérature juive-française d’aujourd’hui, Leyde, Brill Rodopi, 2008, p. 231-242.
(de) Roswitha Böhm et Margarete Zimmermann, « Du silence à la voix: Studien zum Werk von Cécile Wajsbrot, Göttingen, V&R unipress, 2010 (ISBN978-3-89971-497-5).
(de) Philipp Glahé, « Von der Relativität der Zeit. Familie und Werk der Schriftstellerin Cécile Wajsbrot », dans Dokumente : Zeitschrift für den deutsch-französischen / Revue du dialogue franco-allemand, n° 4, 2015, p. 57–59.
Frédérique Fanchette, « Cécile Wajsbrot, vers le phare », dans Libération, 9 avril 2021 Lire en ligne}.