Il est également connu pour être le leader supposé de l'organisation sataniste théiste de l'Ordre des neufs angles, dont il a produit de nombreux textes importants sous le pseudonyme de Anton Long.
L'auteur de la lutte contre le terrorisme, Jon B. Perdue, décrit Myatt comme « [un] iconoclaste britannique qui a vécu une vie quelque peu itinérante et a entrepris une quête intellectuelle tout aussi fâcheuse » et « emblématique du syncrétisme moderne d'idéologies radicales »[3].
Myatt est considéré comme un « exemple de l'axe entre extrémistes de droite et islamistes »[4]. Il est ainsi l'un des précurseurs du djihad blanc[5].
En 2010, Myatt quitte l'Islam et déclare être désormais contre toute forme d'extrémisme[6].
Autobiographies
Myngath. Some Recollections of a Wyrdful and Extremist Life, .
↑R. Heickerö, Cyber Terrorism: Electronic Jihad, Strategic Analysis, Institute for Defence Studies and Analyses, volume 38, issue 4, p. 561. Taylor & Francis, 2014.
↑Monika Bartoszewicz, Controversies Of Conversions: The Potential Terrorist Threat of European Converts to Islam, PhD thesis, University of St Andrews (School of International Relations), 2012, p. 71.
↑Jon B. Perdue, The War of All the People: The Nexus of Latin American Radicalism and Middle Eastern Terrorism, Potomac Books, 2012, p. 70-71.
↑George Michael, The Enemy of My Enemy: The Alarming Convergence of Militant Islam and the Extreme Right, University Press of Kansas, 2006, p. 142 et suivantes.
↑(en) Ariel Koch, Karine Nahon et Assaf Moghadam, « White Jihad: How White Supremacists Adopt Jihadi Narratives, Aesthetics, and Tactics », Terrorism and Political Violence, , p. 1–25 (ISSN0954-6553 et 1556-1836, DOI10.1080/09546553.2023.2223694, lire en ligne, consulté le )
↑Roger Griffin, Terrorist's Creed: Fanatical Violence and the Human Need for Meaning, Palgrave Macmillan, 2012, p. 152.