Il étudie le droit puis il se lance en politique. Il agit pour l'adhésion de la Suisse à l'Union européenne et pour des réformes intérieures. Il est l'un des initiateurs d'une union des cantons de Vaud et de Genève dans la perspective d'une Suisse des régions[1].
En 2006, il publie L'île de la Concorde, fable politique dans laquelle il met en jeu le Conseil fédéral[1].
Le temps d'oser la Suisse, avec la collaboration de Marie-Laure Béguin, préface de Jacques-André Tschoumy, Éditions Jouvence, 1998.
Osare la Svizzera, uno sguardo al futuro, con la collaborazione di Marie-Laure Béguin, prefazione di Jacques-André Tschoumy, Éditions Jouvence 1999.
Un désir de nouvelles républiques, Éditions de l'Aire, 2007.
Christoph Blocher ou le mépris des lois, préface d'Yvette Jaggi, Éditions Favre, 2007.
La question romande, préface de Gilles Marchand, Éditions Favre, 2009[5]
La Suisse ou la Peur? Die Angstgenossenschaft?, François Cherix, Roger Nordmann et Sergio Romano, Éditions Favre, 2011.
La Suisse romande, quatre regards, Georges Andrey, François Cherix, Alexandre Papaux, Jean-Pierre Villard, préface de Joëlle Kuntz, Éditions Slatkine, 2015.
Qui sauvera la Suisse du populisme ?, Éditions Slatkine, 2016.
Le crépuscule du récit révolutionnaire : Regards sur les tourments du débat politique français de la crise des gilets jaunes à celle du coronavirus, Genève, Slatkine, , 200 p. (ISBN9782832110423)[6]
↑Laure Lugon, « François Cherix: «La pandémie agit comme un révélateur des récits identitaires inconscients» », Le Temps, (ISSN1423-3967, lire en ligne, consulté le )