Il est inhumé à Ermenonville où il passa les dernières années de sa vie. Sa tombe se trouve dans le Parc Jean-Jacques-Rousseau, là où le philosophe – dont les restes seront transférés au Panthéon par la suite – avait lui-même été enterré l'année précédente. Le monument porte l'inscription suivante[2] en allemand :
« Hier liegt George-Friederich Mayer, aus Straßburg geburtig, er war ein geschickter mahler und ein redlicher mann. »
(Ci-gît George-Friederich Mayer, né à Strasbourg, c'était un peintre habile et un honnête homme).
Arthur Benoît, « Notes sur quelques artistes strasbourgeois : le peintre G.-F. Meyer », Revue d'Alsace, t. 9, , p. 44-46 (lire en ligne)
Paul-Edmond Tuefferd, « L'Alsace artistique : Georges-Frédéric Meyer », Revue d'Alsace, t. 12, , p. 542-544 (lire en ligne)
Édouard Sitzmann, Dictionnaire de biographie des hommes célèbres de l'Alsace : depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours, t. 2, Rixheim, F. Sutter, 1909-1910 (lire en ligne), p. 28
Maurice Mutterer, « Un peintre rousseauiste alsacien : Georges-Frédéric Meyer », Revue alsacienne illustrée, vol. XIII, no 2, , p. 48-54 (lire en ligne)
François Lotz et François Joseph Fuchs (dir.), Artistes-peintres alsaciens décédés avant 1800 : Avec un complément concernant des artistes-peintres alsaciens ayant œuvré après 1800, Printek, 1994 (ISBN978-2950899804)
Marie-Anne Pirez, Marie-Hélène Trouvelot (et al.), Les Meyer, coll. Les Dictionnaires patronymiques, 1994 (2e éd.), p. 82 (ISBN2-909530-44-2)