Arabisant archéologue, il enseigne à la Médersa de Constantine puis il devient premier titulaire de la chaire d'archéologie musulmane à l'université d'Alger. En 1929, il prend la direction du musée des Antiquités et de l'Art musulman d'Alger et en 1935 intègre l'Institut d'études orientales comme directeur[4].
↑Clément Huart, « Georges Marçais, " Les Arabes en Berbérie du XI au XIVe siecle" », Journal des savants, vol. 12, , p. 541-548 (lire en ligne).
↑Louis Halphen, « Charles Diehl et Georges Marçais, "Le monde oriental de 395 à 1081" », Bibliothèque de l'École des chartes, vol. 97, , p. 386-387 (lire en ligne).
↑Élie Lambert, « Georges Marçais, "L'architecture musulmane d'Occident. Tunisie, Algérie, Maroc, Espagne et Sicile" », Revue des études anciennes, vol. 58, , p. 432-435 (lire en ligne).
Jean Alazard, « Georges Marçais", in Mélanges d’histoire et d’archéologie de l’Occident musulman, I, p. 11-15
Les Artistes de l'Algérie : dictionnaire des peintres, sculpteurs, graveurs 1830-1962, Élisabeth Cazenave, Bernard Giovanangeli, Ed. Association Abd-El-Tif, Paris 2001;
Une famille de savants passionnés du Maghreb : les Marçais. Bernard Lebeau, 2001.