Le Grand Prix des mécènes a été décerné pour la première fois en 2014. Depuis, il est attribué chaque année à l'occasion de la cérémonie de remise des prix des GPAL[1]. Le prix est honorifique et s'appuie sur les contributions de mécènes, notamment pour les charges liées à l'organisation et à la communication[2]. Le lauréat est souvent annoncé dans la presse camerounaise en prélude à la remise du prix[3]. Jusqu'en 2017, seul des auteurs de l'Afrique francophone ont été honorés. Ils sont tous considérés comme des doyens de la littérature dans leurs pays respectifs, et font partie de cette génération d'auteurs africains qui se sont fait remarquer dans la période post-indépendances. Le dernier lauréat en date, Seydou Badian Kouyaté du Mali (Grand Prix des mécènes 2017), est décédé le à l'âge de 90 ans[4]. Quant à Bernard Dadié de la Côte d'Ivoire, il est primé pour le compte de l'édition de 2016 le , alors qu'il a 101 ans[2], puis décède le à 103 ans[5].
↑ a et bMarchelo Tientcheu, « A 101 ans, l’Ivoirien Bernard Dadié est lauréat du Grand Prix des Mécènes 2016 », sur Lebledparle.com, : « Prix honorifique, le Grand Prix des Mécènes, initié par le Club des Muses et soutenu par le GPAL est un concept qui se veut une récompense honorifique, mais qui pourrait s’accompagner d’une dotation en numéraire collectée auprès des mécènes. »
↑Ce que la littérature africaine doit à Cheikh Hamidou Kane: lire en ligne, voir aussi Cheikh Hamidou Kane: Grand Prix des mécènes 2019, sur seneplus.com