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Les hospitaliers possédaient 80 commanderies dans la langue de Provence, 25 dépendaient de Toulouse et 55 de Saint-Gilles[13]. Les commanderies suivies de la croix pattée rouge () sont des anciennes possessions de l'ordre du Temple :
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Notes
↑Premier prieur de Toulouse. Il était Prieur de Saint-Gilles et chancelier de l'Ordre jusqu'au démembrement de ce prieuré en et la création du prieuré de Toulouse (avec celui de Provence), cf. Roger 2011, p. 106-107, 118, 123. Il est de nouveau nommé prieur de Saint-Gilles en tout en conservant le prieuré de Toulouse jusqu'à son décès en mai 1332 (p. 126).
↑Problème de dates contradictoires selon les auteurs. Un Raymond de Savin, commandeur d'Arles a été grand prieur de Saint-Gilles (1369 - 1370) à la suite de la résignation forcée de Juan Fernández de Heredia[6]. D'après Joseph Delaville le Roulx, il a également été prieur de Toulouse précédant Gaucher de La Bastide mais ce ne peut être qu'avant de devenir prieur de Saint-Gilles, ce que ne mentionne pas l'abbé Nicolas. Antoine du Bourg l'inclut dans les grands prieurs de Toulouse entre 1360 et 1368 mais la période est erronée.
↑Ensuite grand prieur de Saint-Gilles (- 1383/84)[7].
↑Petrus de Tilio. Appelé à tort du Tilleuil par Eugène Mannier, parfois Pierre du Theil (Delaville le Roulx). Auparavant, il a été commandeur de Capestang, commandeur de Lavillatte (la Vilatte), commandeur de Saint-Nazaire-d'Aude et pour finir commandeur de Jalès (au moins depuis 1402) avant d'être nommé grand commandeur le puis prieur de Toulouse le , cf. Delaville le Roulx, Les Hospitaliers à Rhodes, 1310-1421, 1974, p. 315.
↑Appelé également Tandon d'Arpajon pour le distinguer de Bertrand d'Arpajon, grand prieur de Saint-Gilles. D'après l'archiviste du grand prieuré de Saint-Gilles ils étaient frères. Précédemment commandeur de Palhers (1420-1436), de Lacapelle-livron (1423-1436) puis lieutenant du grand prieur de Saint-Gilles, son homonyme en 1436 (il dirige le chapitre de Saint-Gilles cette année-là), cf. Louis d' Alauzier, « Les commandeurs de Lacapelle-Livron jusqu'en 1550 », Bulletin de la Société archéologique du Tarn-et-Garonne, t. 90, , p. 33 (lire en ligne).
↑Commandeur de Montsaunès vers 1437 (Bourg 1883, p. 203) en tant que chambre priorale.
↑Richard-Jean-Louis de Sade de Mazan a été reçu le (cf. Viton de Saint-Allais 1839, p. 326). † à Toulouse[12]. Antoine du Bourg le prénomme à tort Richard Jérôme et indique une période erronée (1788-1792), erreur reprise par Jules Chinault dans Les institutions consulaires de Toulouse, 1953, p. 123. La liquidation de la dépouille de ce prieur n'était toujours pas achevée en 1792 d'où l'erreur fréquente sur la date de décès et de fin de prieuré.
↑43° 39′ 44″ N, 1° 10′ 06″ E. Larmont est d'origine templière et fut dévolue en 1313 mais ne prend le statut de commanderie que vers 1350 et ce jusqu'en 1550 (Bourg 1883, p. 241).
↑Jean-Marc Roger, « La réforme de l'Hôpital par Jean XII : Le démembrement des prieurés de Saint-Gilles et de France (21 juillet 1317) », dans Helen J. Nicholson, On the Margins of Crusading : The Military Orders, the Papacy and the Christian World, Ashgate Publishing Ltd., (ISBN978-1-4094-3217-3, présentation en ligne), p. 101-138
↑ a et bJoseph Delaville le Roulx, Les Hospitaliers à Rhodes jusqu'à la mort de Philibert de Naillac, 1310-1421, E. Leroux, , 452 p., p. 103.
↑Abbé C. Nicolas, « Histoire des grands prieurs et du prieuré de Saint-Gilles par M. Jean Raybaud, avocat et archivaire de ce prieuré : tome I », Mémoires de l'Académie de Nîmes, t. XXVII, , p. 331, lire en ligne sur Gallica.
↑Guy Pierre Souverville, La commanderie de Boudrac : de la Palestine aux Pyrénées, Templiers et Chevaliers de Saint Jean de Jérusalem : chambre prieurale du Grand Prieure de Toulouse, Editions Société d'études et recherches du Nebouzan, , 326 p. (présentation en ligne)
↑Belhomme, « Notice historique sur le lieu d'Orfons vulgairement Arfons : ancienne commanderie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem dans la montagne noire », Mémoires de la société archéologique du Midi de la France: de 1841 à 1847, Toulouse, t. V, , p. 223-276 (lire en ligne)
Bibliographie
Antoine du Bourg, Ordre de Malte : Histoire du grand prieuré de Toulouse et des diverses possessions de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem dans le sud-ouest de la France..., Toulouse, L. Sistac et J. Boubée, , lire en ligne sur Gallica
Pierre Vidal, Hospitaliers et templiers en France méridionale : le Grand Prieuré de Toulouse de l'Ordre de Malte ; guide de recherches historiques, archivistiques et patrimoniales, Les Amis des Archives de la Haute-Garonne et CNRS Éditeurs, , 237 p. (ISBN978-2-9074-1624-5, présentation en ligne)