Ces informations peuvent manquer de recul, changer à mesure que l’événement progresse ou ne pas prendre en compte des développements récents. Le titre lui-même peut être provisoire. N’hésitez pas à l’améliorer en veillant à citer vos sources. La dernière modification de cette page a été faite le 17 novembre 2024 à 11:52.
Grève étudiante pour le climat
Nombre maximal de participants :
<1 000
1 000-10 000
10 000-100 000
100 000+
1 000 000+
Informations
Date
Depuis le (6 ans, 5 mois et 12 jours)
Localisation
Monde
Caractéristiques
Organisateurs
Fridays for Future Youth for Climate Student for Climate Youth Strike for Climate Youth Climate Strike US[réf. nécessaire]
Participants
Écoliers et étudiants
Revendications
Sortir des énergies fossiles Cesser les émissions de gaz à effet de serre Proclamer un état d'urgence climatique Changer le système[1]
Nombre de participants
1 400 000 (le 15 mars 2019) 4 000 000 (le 20 septembre 2019) 2 000 000 (le 27 septembre 2019)
La grève étudiante pour le climat ou grève scolaire pour le climat — dénommée « école buissonnière pour le climat » par certains médias[2],[3],[4] — est un mouvement international de jeunes quittant leur établissement scolaire, généralement le vendredi ou parfois le jeudi, pour participer à des manifestations en faveur de l’action contre le réchauffement climatique.
La première grève scolaire pour le climat a été lancée par Greta Thunberg, le devant le Riksdag (Parlement suédois). L'adolescente suédoise explique aux journalistes conviés qu'elle n'ira pas à l'école jusqu'aux élections générales du . Elle continue, après les élections et jusqu'en 2023, à faire grève chaque vendredi, attirant ainsi l'attention du monde entier sur le mouvement baptisé Fridays for Future (Youth for Climate en France, Chypre, Belgique et au Luxembourg ; Grève du climat en Suisse).
Objectifs
L’objectif des grèves pour le climat est d’attirer l’attention sur l'inadéquation de la politique climatique, de faire prendre des mesures pour la protection du climat et d'exiger le respect de l'Accord de Paris sur le climat.
Les manifestations ont des revendications plus spécifiques :
Développer les transports en commun dans le contexte d’un changement de trafic ;
Demander le droit de vote à 16 ans afin d'élargir la participation des jeunes[5].
Historique
L'idée d'une grève scolaire pour le climat naît au sein du mouvement « Fossil Free Sweden » mené par Bo Thorén et auquel Greta Thunberg participe dès l'été 2018. Le concept s'inspire de la mobilisation scolaire qui s'était mise en place aux États-Unis à la suite de la fusillade de Parkland en Floride, et qui a vu les élèves américains quitter leurs établissements pour dénoncer la prolifération des armes à feu et pousser à la mise en place d'une législation plus restrictive[6].
Après les vagues de chaleur et les feux de forêt qui ont sévi en Suède durant l'été 2018, Greta Thunberg décide dès le de ne pas aller à l'école jusqu'aux élections législatives suédoises du . Elle demande que le gouvernement suédois réduise les émissions de carbone conformément à l'accord de Paris. Tous les jours, l'adolescente proteste en s'asseyant devant le Riksdag pendant les heures de classe avec un panneau « Skolstrejk för klimatet » (grève scolaire pour le climat)[7].
Après les élections générales, Greta Thunberg continue à faire grève chaque vendredi, attirant ainsi l'attention du monde entier. Elle inspire des élèves du monde entier, qui à leur tour participent à des grèves d’étudiants[8]. En , plus de 20 000 étudiants participent à des grèves dans au moins 270 villes[8] dans plusieurs pays dont l'Australie, l'Autriche[9], la Belgique, le Canada[10], les Pays-Bas, l'Allemagne, la Finlande, le Danemark, le Japon, la Suisse[11],[12], le Royaume-Uni et les États-Unis[8],[13]. En Australie, des milliers d’élèves sont incités par Greta Thunberg à faire la grève les vendredis, ignorant les propos du Premier ministre Scott Morrison sur « plus d’apprentissage dans les écoles et moins de militantisme »[14].
En , aux Pays-Bas ainsi qu'au Royaume-Uni, des centaines de scientifiques publient des lettres ouvertes pour confirmer l'urgence d'agir et pour soutenir publiquement les grèves scolaires pour le climat. Le , plus de 260 chercheurs suisses, français et belges publient à leur tour une lettre ouverte[15]. Ils appellent à « encourager cette mobilisation de la jeunesse » et annoncent qu'ils « feront [eux] aussi la grève scolaire pour le climat le »[15],[16],[17].
En France, les enseignants créent un site de soutien aux grèves étudiantes et d'action enseignante[18], afin de sortir du cadre convenu par les programmes sur le développement durable[19].
Le , selon The Guardian il y aurait eu environ deux millions de participants à la grève pour le climat dans le monde entier et un total de six millions depuis le début du mouvement[20].
Mobilisation internationale du
Le groupe international de coordination du mouvement des grèves des jeunes pour le climat publie une lettre ouverte appelant à manifester le [21],[22]. Traduite en 19 langues et publiée dans des journaux tels que The Guardian (Royaume-Uni) et Le Temps (Suisse), elle déclare :
« Nous, la jeunesse, sommes profondément préoccupés par notre avenir. [...] Nous sommes l’avenir sans voix de l’humanité. Nous n’accepterons plus cette injustice. [...] Nous devons enfin traiter la crise climatique comme une crise. C’est la plus grande menace de l’histoire de l’humanité et nous n’accepterons pas votre inaction qui menace toute notre civilisation. [...] Le changement climatique est déjà une réalité. Des gens sont morts, meurent et mourront à cause de cela, mais nous pouvons arrêter cette folie et nous le ferons. [...] Unis, nous nous lèverons le 15 mars et bien d’autres fois après, jusqu’à ce que la justice climatique soit rendue. Nous demandons aux dirigeants du monde entier qu’ils assument leurs responsabilités et résolvent cette crise, ou qu’ils se retirent. Vous avez échoué dans le passé. Si vous continuez à nous décevoir à l’avenir, nous, les jeunes, ferons changer les choses par nous-mêmes. La jeunesse de ce monde s’est mise en mouvement et elle ne s’arrêtera plus. »
« [...] Ce n'est qu'en agissant rapidement et de manière cohérente que nous pourrons limiter le réchauffement climatique, mettre un terme à l'extinction massive des espèces animales et végétales, préserver les bases naturelles de la vie et créer un avenir digne d'être vécu pour les générations présentes et futures. C'est exactement ce que les jeunes des grèves du climat (« Fridays for Future ») veulent réaliser. Ils méritent notre respect et notre plein appui[25]. »
Des grèves scolaires pour le climat auront lieu dans de nombreux pays : le site internet Fridaysforfuture.org recense 2 052 événements dans 123 pays, sur tous les continents, y compris l'Antarctique[26],[27].
Mobilisation internationale du
Le , The Guardian relaie les prévisions pour le de 1 594 manifestations dans 118 pays[28]. La mobilisation est plus forte que la précédente et des évènements sont organisés dans 1 600 villes dans 125 pays.
Mobilisation internationale à Aix-la-Chapelle en Allemagne le
Le lendemain, entre 800 et 1 300 manifestants occupent la mine à ciel ouvert de lignite de Garzweiler[30] tout près de là.
Rencontre européenne du 5 au
Du 5 au , l'Université de Lausanne a accueilli 450 jeunes participants européens des grèves pour le climat pour la conférence SMILE for Future (Summer Meeting in Lausanne Europe) ; Lausanne est considérée comme « capitale européenne des grèves du climat » et une grève y fut organisée pour clore la conférence, le vendredi (c'est la quatrième grève pour le climat organisée à Lausanne)[31],[32].
La conférence a permis aux militants de se rencontrer, de débattre et de s'accorder sur une « Déclaration de Lausanne sur le climat » précisant les valeurs, les objectifs et les mesures proposées par le mouvement[33].
L’ONG internationale 350.org recense « 5 800 actions dans 163 pays, 73 syndicats, 820 associations de la société civile ou encore 3 024 entreprises »[35].
56 organisations et associations écologistes mais aussi de défense des droits sociaux en France appellent à manifester les 20 et [36].
Dans le monde, des entreprises incitent leurs salariés à manifester ou bien arrêtent les ventes ce jour-là. Une coalition australienne compte plus de 200 entreprises. 1 000 salariés d'Amazon demandent à leur entreprise de soutenir la grève du et de prendre des engagements en faveur de la protection du climat[37][source insuffisante].
Certaines écoles et universités comme à New York autoriseront les élèves à faire grève s'ils ont l'accord de leurs parents[38].
Manifestation à Montréal,
La manifestation, rassemblant un demi-million de participants selon les organisateurs, est « du jamais vu au Québec et l’une des plus grosses manifestations jamais organisées au Canada. » La manifestation est — qualifiée d'« historique » par la police. À la fin de la marche, Greta Thunberg déclare « Nous sommes en train de changer le monde »[39]. Les clés de la Ville lui sont symboliquement remises par la mairesse Valérie Plante[40],[41]. De 450 000 à 500 000 manifestants se réunissent selon les organisateurs (la police ne donne pas de chiffre mais parle d'une « mobilisation historique »)[42]. Si ces chiffres sont avérés, cela en ferait probablement « la plus importante manifestation de l’histoire du Québec »[43]. Les transports collectifs sont gratuits lors de cette journée[44]. La Commission scolaire de Montréal avait annoncé l’instauration d’une journée pédagogique et de nombreux cégeps et universités annulent les cours pour l'occasion[45],[46]. Fait rare dans le domaine de l'entreprise, des patrons encouragent leurs employés à participer a la manifestation et certaines entreprises ferment pour permettre à leurs employés de participer[47].
Des milliers de jeunes manifestent dans 2 300 villes de 153 pays en particulier en Australie où les feux de forêts incontrôlés mettent en évidence l'inadéquation des mesures prises par le gouvernement contre le réchauffement climatique, au Royaume-Uni, à Madrid dans l'attente du début de la COP 25, à Lisbonne dans l'attente de l'arrivée en voilier de Greta Thunberg, à Bombay, Tel Aviv, Vienne, Francfort, Varsovie, Berlin et Bangkok[51],[52],[53].
En France, « Block Friday » contre le Black Friday
Des blocages des entrepôts d'Amazon sont organisés à travers la France en particulier par Youth for Climate en collaboration avec Extinction Rebellion le jour des soldes du Black Friday comme à Lyon[54]. Les militants veulent dénoncer le modèle de surconsommation destructeur pour l'environnement[55].
À Marseille, le centre commercial Les Terrasses du Port ferme ses portes à l'arrivée des manifestants[56],[57].
Le groupe local de Paris organise le blocage du centre commercial de La Défense « Westfield Les Quatre Temps ». Tout au long de la journée, des centaines de jeunes bloquent l'entrée aux magasins afin de sensibiliser les consommatrices et consommateurs[58].
, en Australie
SchoolStrike4Climate lance une campagne de boycott des bus Greyhound du fait de l'implication de la société dans le mégaprojet de mine de charbon CarmichaelAdani. Greyhound renonce alors à ce contrat. Siemens qui était également la cible des activistes du climat confirme, lui, son contrat avec Adani[59].
2023
En octobre 2023, les déclarations jugées trop propalestiniennes de Greta Thunberg provoquent des dissensions au sein du mouvement Fridays for Future. Selon Le Monde, le mouvement pour le climat serait partagé entre ceux qui défendent ses prises de position propalestiniennes et les autres, qui lui reprochent son manque de solidarité avec Israël et son « aveuglement »[60].
« La détermination des jeunes militants du monde entier face aux réalités de la crise climatique nous rend humbles et nous inspire. Chaque jeune participant incarne ce que signifie agir d'après sa conscience. Ils nous rappellent que nous avons plus de pouvoir que nous ne le croyons et que nous avons tous un rôle à jouer dans la protection des droits de l'homme contre les catastrophes climatiques[61]. »
Le Fridays for Future Deutschland publie lors d'une conférence de presse sa liste des demandes avec des objectifs à court et à long terme. Ces demandes ont été soulevées par Fridays for Future et développées en coopération avec des scientifiques (la HTW Berlin(de) et la Fraunhofer-Institut für Energiewirtschaft und Energiesystemtechnik). Ce sont les suivantes :
Introduction d'une taxe carbone sur les émissions de gaz à effet de serre qui compense les coûts environnementaux auxquels feront face les générations futures. Selon l'Agence allemande de l'environnement (Umweltbundesamt), le prix de CO2 serait de 180 euros par tonne.
Deux jeunes étudiantes belges appellent leurs camarades à manifester chaque jeudi[62], donnant naissance au mouvement Youth for Climate qui se développe également en France dans une optique plus ouvertement anticapitaliste[63].
En Suisse, le mouvement de la « Grève du climat » (en allemand Klimastreik, en italien Sciopero per il Clima) a organisé de très nombreuses[64]manifestations et grèves étudiantes depuis en Suisse alémanique et depuis en Suisse romande et au Tessin (voir tableau ci-dessous). Il a également soutenu et participé à une manifestation de l'Alliance climatique ayant réuni entre 60 000 et 100 000 personnes à Berne le [65]. Des conférences[66] ou encore des gratiferias[67] sont parfois organisées par les grévistes, à la place des cours.
Dans le canton de Vaud, dans le cadre de l'élection complémentaire au Conseil d'État (gouvernement cantonal) du , le collectif de la Grève du climat a lancé une candidate tirée au sort de 19 ans (face à la favorite, Christelle Luisier) ; non élue, elle a toutefois obtenu 23 % des voix, résultat élevé décrit comme un important signal politique en faveur d'actions climatiques et écologiques fortes[68],[69].
Dans plusieurs cantons, dont celui de Fribourg[70] et de Neuchâtel[71], des motions populaires ont été déposées. Les motions ayant été traitées par le Grand Conseil neuchâtelois[72],[73],[74] et par le Conseil général de la Ville de La Chaux-de-Fonds[75] ont été acceptées.
Des assemblées populaires ont été organisées par le mouvement, notamment le [76]. Le mouvement propose en outre diverses mesures, proposées par des groupes cantonaux ou par l'ensemble du mouvement, pour faire face à la crise écologique et sociale[77], mesures jugées radicales[78].
Avec le soutien de diverses associations[79] et syndicats[80], la Grève du climat a lancé le projet de la « Grève pour l'avenir »[81], mouvement visant a organiser des grèves de salariés en vue d'une grève générale. La grande grève prévue le a été reportée à cause de la pandémie de Covid-19[81]. La première grève étudiante après le début de la pandémie a eu lieu le dans 18 villes suisses[82].
Plusieurs centaines de manifestants non violents ont occupé la place Fédérale (devant le Palais fédéral) dès le au matin, avant d'être évacué par la police mercredi matin[85]. Plus de 2 000 personnes ont ensuite participé à une marche pour le climat le [85]. Les grévistes du climat veulent notamment une loi sur le CO2 plus efficace et la neutralité carbone en 2030[83].
Liste
La traduction de cet article ou de cette section doit être revue ().
Le contenu est difficilement compréhensible vu les erreurs de traduction, qui sont peut-être dues à l'utilisation d'un logiciel de traduction automatique.
Discutez des points à améliorer en page de discussion ou modifiez l'article.
Liste de grèves scolaires pour le climat (non exhaustive)
Alexandria Villaseñor s'installe tous les vendredis sur un banc face à l'entrée des visiteurs du siège des Nations unies à New York. Elle est toujours accompagnée de ses deux pancartes : « Écoles en grève pour le climat » et « La COP24 nous a bernés »[96]
1000 a à Flensburg (organiser par Jakob Blasel)[142], 1000 à Regensburg, 1500 à Passau, 200 à Landau, 1300 à Garmisch-Partenkirchen[143], 130 à Halle[144], etc.[145],[146]
À DC, Foster continue les grèves en solo ; OC Coleman continue les grèves en solo ; Y, Villaseñor rejoint par d'autres étudiants pour la première fois[100],[163] À Tisbury, les frères Runar Finn (11) et Odin Robinson (9)[164].
Entre 5000 et 8000 selon Greta Thunberg présente sur place[169], plusieurs milliers selon un tweet[170] d'Audrey Garric avant qu'elle n'écrive un millier dans Le Monde
2500-3000 à Ann Arbor[209] 2000 à New York[210], 1500-2000 à Portland[211],[212], 1500 à Washington, DC[213], 1000 à San Francisco[214],[215],1000 à St. Paul[214], a "few hundred" in Los Angeles[216], "several hundred" à Chicago[217], "hundreds" à Seattle[218], "hundreds" à Boston[219], 200+ à Sacramento[220]
Environ 40 personnes rassemblées au parc Sokolniki[264]. D'autres manifestations étaient également prévues à Saint-Pétersbourg, Novossibirsk, Sourgout et Krasnoïarsk, mais elles n'ont pas été autorisées par le gouvernement. Au lieu de faire la grève, des étudiants russes et d'autres sympathisants ont manifesté leur solidarité via les réseaux sociaux[265]. Depuis lors, chaque vendredi, l'étudiant local Arshak Makichyan fait grève seul sur la place Pushkinskaya[266].
Manifestations au sein des lycées et sur l'avenue Habib-Bourguiba[272]. De nombreuses actions de nettoyage de la ville ont été entreprises par des étudiants.
Organisé par Greenpeace Belgique, Klimaatcoalitie et le mouvement Youth for Climate, qui organise également les grèves pour le climat en Belgique[299],[300],[301].
Des étudiants de centaines d'écoles à travers les États-Unis ont organisé des rassemblements et des marches dans différents villes notamment Boston, Chicago, Houston, New York, Philadelphie, Phoenix et Seattle[343].
Environ 6 000 personnes ont manifester à Stockholm, dont plus de 4 000 étudiants. Les grévistes ont défilé de Humlegården à Kungsträdgården. Avec Greta Thunberg[352].
Environ 1 500 étudiants ont manifesté à Utrecht. Un groupe de 200 professeurs appelé « Teachers for Climate » ont soutenu la manifestation dans une lettre ouverte[355],[356].
15 000 personnes ont manifesté à Paris selon le cabinet Occurrence et 27 000 personnes selon les organisateurs[358],[359]. Il y avait 3 000 manifestants à Lyon et Montpellier, 2 600 à Nantes et environ 1000 à Tours[359].
Grèce
Nationwide
2 000+
Strikers marched in Athens[360] along with the candidate MEP Petros Kokkalis. A march took place in Thessaloniki[361].
About 100 students from Charlottesville and Albemarle County schools gathered at the Freedom of Speech Wall, where several of them spoke, followed by candidates for the Charlottesville City Council. The crowd then walked along the Downtown Mall and back, cheered by onlookers[366].
Second strike for climate in Belgrade organised by Petkom za budućnost (Fridays for Future in Serbian) and supported by Educational system Kreativno pero. About 50 strikers attended[367].
Collégiens, lycéens et étudiants se sont rendus devant l'hôtel de la métropole pour faire entendre leurs doléances sur certains aménagements de l'agglomération[368]
Manifestation clôturant la conférence SMILE for Future (Summer Meeting in Lausanne Europe)[31] qui a réuni 450 jeunes militants européens du 5 au et qui a abouti à la « Déclaration de Lausanne sur le climat »[33],[375]
« La plus grande mobilisation jamais enregistrée » selon 350.org : 15 000 manifestants à Bruxelles[381], 40 000 manifestants en France, 100 000 manifestants à Londres, 400 000 manifestants en Australie, 1 400 000 marcheurs en Allemagne[382]
Last day of the third global strike[385]. Appearance by Greta Thunberg in Montreal, where 300,000–500,000 people gathered. Figures of 1 million protesters in Italy and 170,000 in New Zealand. See September 2019 climate strikes for a list of actions by country[386],[387],[388].
Des milliers de personnes défilent à Bruxelles pour la grève européenne du climat alors que l'hiver le plus chaud jamais enregistré touche à sa fin[413].
Septième grève mondiale pour le climat, en partie en ligne sous la bannière #NoMoreEmptyPromises, mais aussi sous forme de manifestations comme en Belgique ou en Suisse[415],[416].
↑ a et b(en) « Australian school children defy prime minister with climate strike », CNN, (lire en ligne).
↑ a et bPlus de 260 chercheurs suisses, français et belges, « Appel de chercheurs à la grève climatique mondiale du 15 mars », Le temps, (lire en ligne, consulté le ).
↑276 chercheurs suisses, français et belges, « Des chercheurs appellent à la grève climatique mondiale : « Nos vérités sont difficiles à entendre » », Le Soir, (lire en ligne, consulté le ).
↑Collectif, « « Nous, scientifiques, ferons aussi la grève scolaire du 15 mars » », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
↑(en-GB) Matthew Taylor, Jonathan Watts et John Bartlett, « Climate crisis: 6 million people join latest wave of global protests », The Guardian, (ISSN0261-3077, lire en ligne, consulté le ).
↑(en) « Climate crisis and a betrayed generation », The Guardian, (ISSN0261-3077, lire en ligne, consulté le ).
↑Mouvement des grèves du climat, « Maintenant ou jamais, sauvons la planète ! », Le Temps, (lire en ligne, consulté le ).
↑Céline Zünd, « Écoutez les jeunes, car ils construisent l’avenir », Le temps, (lire en ligne, consulté le ).
↑(en) Damian Carrington Environment editor, « ‘We need everyone’: Greta Thunberg calls on adults to join climate strikes », The Guardian, (ISSN0261-3077, lire en ligne, consulté le ).
↑L'Usine Nouvelle, « RWE dénonce les dégradations à la mine de Garzweiler après une manifestation - L'Usine Matières premières », l'Usine Nouvelle, (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et bsmileforfuture.eu, site officiel du Summer Meeting in Lausanne Europe (page consultée le 5 août 2019).
↑(en) Greta Thunberg et 46 youth activists, « Young people have led the climate strikes. Now we need adults to join us too | Greta Thunberg and 46 youth activists », The Guardian, (ISSN0261-3077, lire en ligne, consulté le ).
↑Rémi Barroux, « Des villages aux grandes villes, partout dans le monde, mobilisation inédite pour le climat », La presse, (lire en ligne, consulté le ).
↑(en) « ‘Tens of thousands’ of children skip school for climate strike protest », BelfastTelegraph.co.uk, (ISSN0307-1235, lire en ligne, consulté le ).
↑(en) Matthew Taylor, Helen Pidd et Jessica Murray, « Hundreds of thousands of students join global climate strikes », The Guardian, (ISSN0261-3077, lire en ligne, consulté le ).
↑« Students stage global strikes to pressure U.N. climate summit », Reuters, (lire en ligne, consulté le ).
↑(en-GB) Graham Readfearn, « Greyhound cuts ties with Adani mine after backlash from climate activists », The Guardian, (ISSN0261-3077, lire en ligne, consulté le ).
↑ ab et c« Une première Grève du climat depuis le coronavirus tout en douceur », RTS Info, (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et bBernard Wuthrich, « La loi sur le CO2 comme réponse aux activistes », Le Temps, (lire en ligne, consulté le ).
↑Emmanuel Borloz, « La Grève du Climat bascule dans la désobéissance civile », 24 heures, (lire en ligne).
↑ ab et cFabian Muhieddine, « On va recommencer. Tout le temps. Dans le monde entier », Le Matin Dimanche, , p. 6-7.
↑(en) David Crouch, « The Swedish 15-year-old who's cutting class to fight the climate crisis », The Guardian, (ISSN0261-3077, lire en ligne, consulté le ).
↑ a et b(nl) Maja Landeweer, « Scholieren spijbelen voor het klimaat: 'Boeit onze toekomst je iets?' », Algemeen Dagblad, (lire en ligne, consulté le ).
↑(de) Annika Schulz, « Proteste vor dem Bundestag – Schüler demonstrieren in Berlin gegen den Klimawandel », Tagesspiege, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Climat : des lycéens dénoncent l'égoïsme des adultes (vidéo) », RTBF Info, (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et b(en) Naaman Zhou, « Hundreds of students striking over climate change descend on parliament », The Guardian, (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et b(en) Livia Albeck-Ripka, « Climate change protest draws thousands of Australian students », The New York Times, (lire en ligne, consulté le ).
↑(en) Naaman Zhou, « Climate change strike: thousands of school students protest across Australia », The Guardian, (lire en ligne, consulté le ).
↑(en) « London school strike for climate action », Real Media, .
↑(en) Sarah Singleton, « School pupils on strike to press for action on climate change », The Wiltshire Gazette and Herald, (lire en ligne, consulté le ).
↑(en) Aastha Shetty, « Children and youth strike against climate change in Waterloo Region », Kitchener Today, (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et b(en) Michelle Henderson, « Fort William student goes on strike for action against climate change », Press and Journal, (lire en ligne, consulté le ).
↑(fi) Anna Takala, « Aikuisten saamattomuuteen tuskastuneet nuoret lakkoilivat ilmaston puolesta, Eduskuntatalolla parveili satoja nuoria – ”Tässä on meidän tulevaisuudesta kyse” », Helsingin Sanomat, (lire en ligne, consulté le ).
↑(en) Kevin O'Sullivan, « School students lay out climate demands in Leinster House – Six demands outlined at informal meeting with more than 20 Senators and TDS », The Irish Times, (lire en ligne, consulté le ).
↑(nl) Wim Schepens, « 12.500 klimaatspijbelaars betogen voor de tweede keer voor een bindend klimaatplan », De Redactie, (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et b(en) Roth Clare and Farah Salhi, Reuters, « Belgian students skip school for mass anti-pollution protest », reuters.com, (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et b(en) « 'Our house is on fire': Greta Thunberg, 16, urges leaders to act on climate », The Guardian, (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et b(de) « Gekommen fürs Klima – und für Greta », SRF Info, (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et b« Greta Thunberg a fait sa grève hebdomadaire à Davos », Le Matin, (lire en ligne, consulté le ).
↑(de) « Schüler-Demo „Fridays for Future“ „Wir sind richtig viele, es geht richtig los“ », Berliner Zeitung, (lire en ligne, consulté le ).
↑(de) « Mehrere tausend Schüler streiken in Berlin für den Klimaschutz », Der Tagesspiegel, (lire en ligne, consulté le ).
↑(de) « #FridaysForFuture: Tausende Schüler demonstrieren für das Klima » [« Thousands of pupils demonstrate for the climate »] [archive du ], sur Br.de, (consulté le ) : « In Regensburg demonstrierten rund 1.000 Teilnehmer. […] Etwa 1.500 Schülerinnen und Schüler sind in Passau auf die Straße gegangen. […] In Landau an der Isar sprach die Polizei von 200 Demonstranten. Den Schülern in Garmisch-Partenkirchen ist die Umwelt ebenfalls wichtig. Allerdings schwänzten sie dafür nicht, sondern 1.300 Jugendliche versammelten sich erst nach der sechsten Stunde zu einer Kundgebung auf dem Richard-Strauß-Platz. ».
↑(de) Jan Möbius, « 130 Jugendliche demonstrieren für bessere Klimapolitik » [« 130 pupils demonstrate for better climate politics »], Städtische Zeitung Halle, (lire en ligne [archive du ], consulté le ) :
« Mehr als 130 Teilnehmer waren am Vormittag auf den Markt in Halle zu der Demonstration gegen die Zerstörung des Ökosystems gekommen. »
.
↑(de) « Erfurt: Schüler-Demo stellt Klimapolitik schlechtes Zeugnis aus », Die Welt, (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et b(en) « Schoolchildren go on strike over climate change », BBC News, (lire en ligne, consulté le ).
↑(en) Sandra Laville, Poppy Noor and Amy Walker, « 'It is our future': children call time on climate inaction in UK », The Guardian, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Greta Thunberg et les jeunes marchent pour le climat à Paris : « Quand je serai grand, je voudrais être vivant » », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
↑« La "Marche du siècle" fait le plein pour le climat et la "justice sociale" » [archive du ], (consulté le ) : « A Paris, cette "Marche du siècle" a rassemblé 45.000 personnes, selon un comptage indépendant pour un collectif de médias réalisé par le cabinet Occurrence. La préfecture de police a de son côté chiffré cette affluence à 36.000 manifestants à Paris et les organisateurs à 107.000. ».
↑(en) « Students walk out in global climate strike », BBC, (lire en ligne, consulté le ).
↑(en) Matthew Taylor, « Latest global school climate strikes expected to beat turnout record », The Guardian, (ISSN0261-3077, lire en ligne, consulté le ).
↑« La Mauricie et le Centre-du-Québec se mobilisent pour la grande marche sur le climat », ici.radio-canada, (lire en ligne, consulté le ).
↑Gilles Gagné, « Marche pour le climat: l'Est-du-Québec manifeste », le soleil, (lire en ligne, consulté le ).
↑Stéphanie Gendron, « Marche pour le climat: près de 400 personnes se mobilisent à Rivière-du-loup », Le Journal de Montréal, (lire en ligne, consulté le ).
↑Yanick Michaud, « Climat : l’heure est venue de sauver la planète », Le saint-francois, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Crise climatique: manifestation à Madrid avec Greta Thunberg pour mettre la COP25 sous pression », Le Journal de Montréal, (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et bSomini Sengupta, « Plus de 10'000 manifestants et Greta Thunberg à Lausanne pour le climat », RTS Info, (lire en ligne, consulté le ).
↑(en) Jessica Corbett, « Europe Wraps Up Warmest Winter on Record With Massive Youth #ClimateStrike in Brussels », Common dreams, (lire en ligne, consulté le ).
↑(en) Fiona Harvey, « Young people resume global climate strikes calling for urgent action », The guardian, (lire en ligne, consulté le ).
(de) Luisa Neubauer et Alexander Repenning, Vom Ende der Klimakrise : Eine Geschichte unserer Zukunft, Stuttgart, Tropen Verlag, (ISBN978-3-608-50455-2).
(de) Clemens Traub, Future for fridays?, Bastei Entertainment, , 145 p. (ISBN978-3732595426).
Naomi Klein et Rebecca Stefoff (adaptation), Vaincre l'injustice climatique et sociale: feuilles de combat à l'usage des jeunes générations [« How to change everything: the young human's guide to protecting the planet and each other »], , 304 p. (ISBN978-2-330-14917-8).