La famille est connue dans le registre fossile au cours du Cénozoïque notamment sous forme de fruits et graines fossiles [5]. En particulier, la famille était répandue en Amérique du Nord et en Europe durant le Paléogène ou elle à complétement disparue de nos jours.
↑ ab et c(en) Gregory W. Stull, Rodrigo Duno de Stefano, Douglas E. Soltis et Pamela S. Soltis, « Resolving basal lamiid phylogeny and the circumscription of Icacinaceae with a plastome‐scale data set », American Journal of Botany, vol. 102, no 11, , p. 1794–1813 (ISSN0002-9122 et 1537-2197, DOI10.3732/ajb.1500298, lire en ligne, consulté le )
↑(en) Maarten J M Christenhusz, Michael F Fay et Mark W. Chase, Plants of the World : An Illustrated Encyclopedia of Vascular Plants, Chicago, The University of Chicago Press, , 792 p. (ISBN978-0-2265-2292-0, lire en ligne), p. 513
↑C. H. de Goeje. Nouvel examen des langues des Antilles : avec notes sur les langues arawak-maipure et caribes et vocabulaires shebayo et guayana (guyane).
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↑Marie-France Patte. La langue arawak de Guyane, IRD éd., Marseille 2011, 432 pages, p. 133 : lire en ligne
↑Cédric Del Rio et Dario De Franceschi, « Fossil record of the Icacinaceae and its paleogeographic implications », Review of Palaeobotany and Palynology, vol. 273, , p. 104135 (ISSN0034-6667, DOI10.1016/j.revpalbo.2019.104135, lire en ligne, consulté le )