Sa thèse, soutenue en 1922, porte sur Les confins albanais administrés par la France (1916-1920). Contribution à la géologie et à la géographie de l'Albanie moyenne[1].
De retour à Paris, il est nommé chef de travaux à la Sorbonne.
Nommé en 1925 directeur de l'Institut chérifien au Maroc, il se consacre à la géologie du Maroc.
En 1933, il devient maître de conférences à la Sorbonne. Il s'intéresse dès lors au quaternaire et à l'océanographie. Il contribue à la réalisation de la carte sous-marine de la Méditerranée occidentale. De 1955 jusqu'à sa retraite en 1961, il devient titulaire de la chaire de géographie physique de la Faculté des sciences de Paris.
La connaissance des profondeurs océanographiques, Paris, SEDES, coll. « Demain ? » 1964, 210 p. 51 fig.
Notes et références
↑Les confins albanais administrés par la France (1916-1920) : contribution à la géographie et à la géologie de l'Albanie moyenne, Librairie Delagrave, Paris, 1922, 307 p. (thèse de doctorat en sciences naturelles) [1]
« Hommage à la mémoire du prof. Jacques Bourcart. Océanographie et géomorphologie », in Revue de géographie physique et de géologie dynamique, 1967, nos 3-5
Notice sur les titres et travaux scientifiques de Mr Jacques Bourcart : Supplément 1956-1960, J. et R. Sennac, Paris, 1960