Jean-Baptiste Bertrand est le fils de Pierre-Amédée Bertrand, marchand chapelier, et de Marie Maréchal. Il entre à l'École des beaux-arts de Lyon en 1840. Il y a été un élève de Claude Bonnefond.
Il séjourne à Rome en 1857. Il a commencé à exposer au Salon en 1857 avec une Idylle[1].
Plusieurs de ses toiles exposées ont été remarquées : la Mort de Virginie[2], la Jeunesse, Ophélie, la Frileuse. Il a obtenu plusieurs récompenses aux Salons.
Prix annuel de trois mille cinq cents francs, fondé par Mme James Bertrand, en mémoire de son mari en faveur d'un peintre d'histoire de nationalité française[5].
Collectif, Les Peintres de l'âme : art lyonnais du XIXe siècle, [catalogue de l'exposition du musée des beaux-arts de Lyon, de juin à ], édition du musée des beaux-arts de Lyon, 1981, p. 97.
Recueil de l'œuvre de Jean-Baptiste Bertrand, XIXe siècle[réf. incomplète].
(en) Michael Bryan et George Charles Williamson (direction), « Bertrand, James », dans Bryan's Dictionary of Painters and Engravers, vol. I A - C, New Yok/London, The Macmilan Company/George Bell and Sons, (lire en ligne), p. 126