Jean-Jacques Rouch, né le à Toulouse où il est mort le [1], est un journaliste français depuis 1974, écrivain depuis 2002.
Biographie
Jean-Jacques Rouch fréquente d'abord l'école Pierre-Dupont à Toulouse, puis le Lycée Raymond-Naves. Inscrit en études supérieures à l'Université de Lettres et sciences humaines de Toulouse, il s'oriente vers une Licence d'histoire de l'art, spécialisé dans l'Art musulman médiéval.
Diplômé d'une Maîtrise d'histoire, en histoire de l'Islam occidental médiéval XIIe et XIIIe siècles[2], il entame en 1974 sa carrière de journaliste à La Dépêche du Midi. D'abord Chef de rédaction à Cahors, puis à Montauban, il revient en 1987 à la Rédaction de Toulouse où il est principalement chargé des questions d'éducation, de laïcité et de religion.
Retraité en 2011, il fonde l'association "Amis de Jaurès"[3]. Il entre en 2014 au conseil municipal de Toulouse, où il siège jusqu’à sa mort[4].
La Montreuse d'ours de Manhattan, Éditions Privat, 2004. Prix Mémoire d'Oc, prix de l'Académie du Languedoc
Les Fiancés de Bordemalle, Éditions Privat, 2006
Le Maître du safran, Éditions Privat, 2010. Prix de prose de l'Académie des Jeux floraux, Grand prix littéraire de la ville de Toulouse (Gourmet des Lettres)
Jean le cagot : Maudit en terre d'oc, Toulouse, Privat, coll. « Roman historique », , 215 p., 22 cm (ISBN978-2-7089-5903-3). Nommé au Prix du roman historique de Blois
Grands sites de Midi-Pyrénées (direction), Éditions Privat, 2012[5]
Récompenses et distinctions
Décorations
Commandeur des Palmes académiques (chevalier en 1988, officier en 2000, commandeur en 2011)[6]