Jean de QuirielleJean de Quirielle
Œuvres principales
Jean de Quirielle, né le à Saint-Gérand-le-Puy (Allier) et mort le à Montaiguët-en-Forez, est un poète et romancier français. Il fait partie d’un nouveau genre littéraire le merveilleux scientifique apparenté à la science-fiction, qui apparaît en France à la fin du XIXe siècle et qui prospère durant la première moitié du XXe siècle. BiographieJeunesse et familleMarie Louise Eugène Françoise Xavier Jean de Quirielle naît en 1880 à Saint-Gérand-le-Puy, fils de Jean Roger Marie Abel de Quirielle, propriétaire, et de Jeanne Marie Louise Burelle, son épouse[1]. Un auteur de romans conjecturauxAu cours de sa carrière de romancier, Jean de Quirielle aborde à de nombreuses reprises le genre merveilleux-scientifique. Le recueil L'Homme qui fit parler les bêtes publié en 1911 aux éditions Albert Méricant propose ainsi le court roman éponyme qui met en scène un chirurgien dotant de la parole certains animaux ; et la nouvelle L'Homme qui pouvait ne pas mourir qui traite de l'immortalité acquise grâce à un élixir de jeunesse. L'année suivante, le roman L'Œuf de verre aborde le sujet de la résurrection et de la création artificielle de la vie, tandis que La Joconde retrouvée, qui s'inspire du célèbre vol de 1911, voit une machine permettant de rendre animé le sujet d'une simple peinture. Enfin, Jean de Quirielle produit semblerait-il un dernier récit conjectural en 1925 avec la nouvelle Celui qu'on n'attendait pas publié dans le magazine Lectures pour tous, qui met en scène l'utilisation du « nécrophone », une invention permettant de converser avec les morts[2]. Jean de Quirielle meurt en 1964 à Montaiguët-en-Forez[1]. Œuvres
Notes et références
AnnexesBibliographie
Liens externesInformation related to Jean de Quirielle |