Le elle épouse à Toulouse Victor Marty, chef de bureau à la mairie de Toulouse[3], et prend dès lors le nom de plume de Marvig, contraction des deux patronymes.
Elle écrit une vingtaine d’œuvres et ses poèmes sont publiés dans La Petite Illustration.
Son recueil de poésie Avec les Dieux... et les héros reçoit le prix René-Bardet de l'Académie Française en 1930[4].
Elle est également membre d'un mouvement occitaniste avec de nombreuses autres personnalités; la Ligue de la Patrie méridionale, Fédération des pays d'Oc.
Son nom a été donné à une rue de Toulouse dans le quartier de Saouzelong-Rangueil.
Bibliographie
Lyre d'Apollon, stances (1923)
Marie-Madeleine (1924)
Mon cœur passionné (1927)
Avec les Dieux... et les héros (1928)
Sous le vent des cîmes 1928
Le livre du poète (1933)
Eutrope de Sainte (1936), avec Albert Pons
Deux nuits de la Belle-Paule (1937)
La chanson de Toulouse (1937)
Le Tombeau de Paul Valéry (1946)
Le Cœur exagéré (1946), avec André Éleu, Jeanne Charles Normand et Marie Gasquet
Le Jardin d'Isabélou (1947)
Grèce, mère sacrée (1953) avec Nico Simiriotis
Jours mémorables (1953)
Le Rosier qui chante (1955)
Contributions
Préface de : Cardiogrammes (1951) de Marie-Louise Vaissière
Préface de : Livre d'or toulousain des enfants de Toulouse morts pour la France, années 1914-1915 (1916), de Davia de Précourt[6]
↑Toulousains de Toulouse et amis du vieux Toulouse, « Le souvenir de Mme Jeanne Marvig », L'Auta : que bufo un cop cado més : organe de la société les Toulousains de Toulouse et amis du vieux Toulouse, , p. 67 (lire en ligne [PDF])
↑M. Davia de Précourt, Livre d'or toulousain enfants de Toulouse morts pour la France, 1914-1915, Toulouse, M. Davia de Précourt, , 128 p. (lire en ligne), p. 4-5