Il demeurait au 30, rue Hoche à Rennes. Les villes de Rennes (en 1966) et de Châteaugiron ont donné son nom à une rue.
Œuvres dans les collections publiques
Châteaugiron, mairie : Aux enfants de Châteaugiron mort pour la patrie, vers 1919, huile sur toile. Y figure un autoportrait et le portrait d'Aristide Courau, maire élu en 1919[3].
Figure dessinée d'après nature, 1889, dessin crayon noir, homme nu trois quarts de face, médaille de la figure dessinée ;
Figure dessinée d'après nature, 1889, dessin crayon noir, homme nu de dos, médaille de la figure dessinée ;
Hylas entrainé par trois nymphes au fond d'une source où il puisait l'eau, 1890, dessin sur calque, encre noire à la plume pour le concours d'Attaiville ;
Le Faune, 1892, dessin au crayon noir sur papier calque, préparation pour le concours Jauvin d'Attainville, mention ;
Sainte Radegonde, prisonnière dans le cloître, 1889, huile sur toile ;
La Visitation, 1889, huile sur toile pour le concours d'esquisses peintes ;
Le Corps de Virginie exposé à la tribune, 1890, huile sur toile pour le concours d'esquisses peintes, prix Fortin d'Ivry 1890 ;
Torse ou demi-figure peinte, vers 1892, huile sur toile.
musée d'Orsay : Portrait de Madame Joseph Boucher, née Marie Blancherd, mère du sculpteur Jean Boucher, huile sur toile.
mairie, rotonde située sous le beffroi : Aux glorieux enfants de la terre bretonne, 1919 fresque, œuvre détruite dans l'incendie du bâtiment en 1920, remplacé par une tapisserie.
↑Avec lequel il partage une chambre au 48, rue de Seine à Paris, et dont il exécute un portrait de sa mère, Marie Blanchard, épouse Boucher (Paris, musée d'Orsay).