Kanae Minato commence à écrire alors qu'elle est âgée de plus de trente ans.
Surnommée « La reine des Iyamisu » (Iyamisu signifie « un thriller à l'arrière-goût désagréable » et est un mot créé par Aoi Shimotsuki[7]), Kanae Minato habite sur l'île d'Awajishima (préfecture de Hyōgo).
Ses livres sont traduits en français, anglais, italien, allemand, turc, etc.
Œuvres
Au Japon
Romans
Kokuhaku (告白), 2008 - Les assassins de la 5e B, Seuil[8] (plus de 3 000 000 d'exemplaires vendus au Japon)[9]
Shojo (少女), 2009 (La fillette)
Shokuzai (贖罪), 2009 - Celles qui voulaient se souvenir, Atelier Akatombo[10]
Enu no Tameni (Nのために), 2010 (Pour N)
Yako Kanransha (夜行観覧車), 2010 (La grand roue de nuit)
Koko Nyushi (高校入試), 2013 (L’examen d'admission du lycée)
Mame no Ue de Nemuru (豆の上で眠る), 2014 (Dormir sur un légume sec)
Yama Onna Nikki (山女日記), 2014 (Le journal de la femme de la montagne)
Monogatari no Owari (物語の終わり), 2014 (La fin du récit)
Zessho (絶唱), 2015
Reverse (リバース), 2015
Utopia (ユートピア), 2016
Nouvelles
Ofuku Shokan (往復書簡), 2010 (Correspondance)
Safaia (サファイア), 2012 (Le saphir)
Bokyo (望郷), 2013 (La nostalgie)
En France
Les Assassins de la 5e B (traduction de Kokuhaku par Patrick Honnoré) (2015), Éditions du Seuil (ISBN9782021056273)
Expiations : Celles qui voulaient se souvenir (traduction de Shokuzai par Dominique et Frank Sylvain) (2019), Éditions Atelier Akatombo (ISBN9782379270413)
Nostalgie (traduction de Bōkyō par Alice Hureau) (2021), Éditions Atelier Akatombo [11] (ISBN9782379270925)