Prix Radnóti (d) () Bourse Zsigmond Móricz (d) () Robert Graves Prize (d) () Prix Tibor-Déry () Prix Attila-József () Prix Palládium (d) () Prix Vas István (d) () Belletrist Award (d) () Prix Sándor-Márai () Bertha Bulcsu-emlékdíj () Poète lauréat de la république de Hongrie (d) () Solitude-ösztöndíj (d) () Prix Alföld (d) ()
Krisztina Tóth, née le à Budapest est une écrivaine et traductrice hongroise. Dans son pays natal, son patronyme précède son prénom : Tóth Krisztina.
Son œuvre est notamment traduite en anglais, polonais, allemand, turc, français.
Menaces en Hongrie
Le , les écrivaines Gwenaëlle Aubry et Nina Yargekov publient dans Libération une tribune en soutien à Krisztina Tóth[1], prise à partie par les médias proches du président Viktor Orbán pour s'être interrogée sur la pertinence de conserver le roman L'Homme en or, de Mór Jókai (1872), dans la liste des lectures scolaires obligatoires, considérant la mentalité sexiste que véhicule le livre. Accusée de participer à la cancel culture, l'écrivaine a depuis été marginalisée (invitations annulées, perte d'emploi à l'université,...). Cette campagne en ostracisation s'est étendue à des menaces anonymes et autres messages d'injures.