Kōji Aihara est né le (61 ans) à Noboribetsu[2], petite ville située au sud de l'île de Hokkaidō. Il fait ses études secondaires au lycée de Muroran puis part à Tokyo pour étudier les techniques du manga à l'Institut Nihon Designer. En 1983, Il fait ses débuts en tant que mangaka avec le manga Hachigatsu no nureta pantsu prépublié dans le magazine seinenWeekly Manga Action de l'éditeur Futabasha. Il fait par la suite de nombreux mangas comiques comme Gag magedon dont on ressent l'inspiration du mangaka Mikio Igarashi. Il étonne par son approche radical et expérimental comme le yonkomaKoujien ou encore Katte ni shiro kuma (1986-1989). De 1986 à 1989, il est l'auteur avec le mangaka Kentarō Takekuma du manga parodique Saru demo egakeru manga kyōshitsu.
Vie privée
Il est marié avec la mangaka Tomoe Morozumi (両角ともえ, Morozumi Tomoe?)[1],[3].
1985 : GagMageDon(ぎゃぐまげどん?) ; publié chez Futabasha[BU 1],[4].
1986 :
Bunka Jinrui Gag(文化人類ぎゃぐ?), parodie de dictionnaire japonais ; 1 volume publié entre 1985 et 1988 chez Futabasha[BU 2],[5].
Katte ni Shirokuma(かってにシロクマ?), pré publié dans le magazine Manga Action ; 6 volumes publiés chez Futabasha[BU 3].
Kami no Miezaru Kintama(神の見えざる金玉?) ; publié chez Futabasha[BU 4],[6].
1987 : Kōji en(コージ苑?), pré publié dans le magazine Big Comic Spirits ; 3 volumes publiés chez Shogakukan[BU 5].
1990 : Even a Monkey Can Draw Manga(サルでも描けるまんが教室, Saru Demo Kakeru Manga Kyōshitsu?) avec Kentarō Takekuma, pré publié dans le magazine Big Comic Spirits ; 3 volumes publiés chez Shōgakukan[BU 6].
1993 : Mujina(ムジナ?), pré publié dans le magazine Young Sunday ; 9 volumes publiés chez Shogakukan[BU 7].