Il a, entre autres, pour élève Pierre Bartholomée qui dira de lui: « Comme professeur d'harmonie, il s'est révélé rayonnant, inspiré, non dogmatique, travaillant à partir de l'œuvre plutôt qu'à partir des règles scolaires »[2].
Comme compositeur, Léon Stekke est notamment l'auteur d'un opéra, Les Cornes du croissant (Bruxelles, 1952), et de deux cantates, Héro et Léandre (1931) et La Légende de saint Hubert (1933)[1]. Figurent également à son catalogue[1] :
Fantaisie-rhapsodie, pour orchestre ;
Burlesco, pour hautbois et orchestre ;
Fantaisie élégiaque, pour cor anglais et orchestre ;
Prélude et danse, op. 12, pour clarinette et piano ;
Concerto pour trompette, op. 17 (Bruxelles, 1948) ;
Poème sylvestre, op. 21, pour cor solo en fa et orchestre ou piano ;
Impression de cinéma, op. 22, pour basson ou clarinette et orchestre ou piano ;
Variations en fa dièse mineur, op. 24, pour trombone et orchestre ou piano (1942) ;
L'âme des forgerons, op. 39, pour chœur à 4 voix d'hommes (poésie de Paul Lisse) ;
↑Robert Wangermée (dir.), Pierre Bartholomée : parcours d'un musicien, Wavre, Belgique Bruxelles, Mardaga Conseil de la musique de la communauté française Wallonie-Bruxelles, coll. « Musique, musicologie. », , 245 p. (ISBN978-2-87009-989-6, lire en ligne)