Il sera réédité en français une douzaine de fois jusqu'en 1998[4],[1],[5] et atteindra une diffusion de plusieurs dizaines de milliers d'exemplaires[6].
Il est par ailleurs traduit dans de nombreuses langues dont l'anglais[7], le turc[8], le japonais[9] et le catalan[10],[11].
L’anarchisme au XXe siècle
En 1979, le même auteur publie chez le même éditeur L’anarchisme au XXe siècle[12],[13],[14],[15]
Commentaires
Jean Maitron : « H. Arvon, L'Anarchisme, Paris, 1951, 128 pages, a été écrit par un universitaire pour la collection « Que sais-je ? ». […] après avoir étudié les origines de l'anarchisme et les conceptions des grands théoriciens : Godwin, Stirner, Proudhon, Bakounine, Tolstoï, il traite de l'idéologie individualiste et communiste chez les libertaires et n'aborde l'étude du mouvement qu'à la page 92, ne réservant ainsi qu'une trentaine de pages à l'étude de la Première Internationale, de la propagande par le fait et du syndicalisme révolutionnaire[16] ».
Citations
Pour Henri Arvon, « d'un point de vue exclusivement historique, l'anarchisme apparaît comme un épiphénomène du socialisme[17],[18] ».
↑Octavio Alberola, Le mouvement ouvrier et la révolution anti-autoritaire : l'anarchisme en Espagne, Matériaux pour l'histoire de notre temps, 1985, page 31, lire en ligne.
↑André Jacob, Henri Arvon, L'anarchisme au XXe siècle, Paris, Presses universitaires de France, (L'Historien), 1979, L'Homme et la société, 1979, 51-54, p. 258, lire en ligne.
↑L'Anarchisme au XXe siècle, Henri Arvon, Presses universitaires de France, réédition numérique, présentation en ligne.
↑Jean Lacroix, L'Anarchisme au XXe siècle, Le Monde, , lire en ligne.
↑Jean Maitron, L'anarchisme français, 1945-1965, Le Mouvement social : bulletin trimestriel de l'Institut français d'histoire sociale, Éditions de l'Atelier, 1965-01, lire en ligne.
↑Clément Corbiat, Renaud Séchan Une chronique française, Camion Blanc, 2018, lire en ligne.