Dans les Poètes maudits, Verlaine déclare, en 1884 : « Nous ne connaissons pour notre part dans aucune littérature quelque chose d’un peu farouche et de si tendre, de gentiment caricatural et de si cordial, et de si bon, et d’un jet franc, sonore, magistral, comme Les Effarés. »[6]
Bibliographie
Claude Jeancolas, « Les Effarés », dans Arthur Rimbaud. L'Œuvre intégrale manuscrite, vol. III, Textuel,
Pierre Brunel, Rimbaud. Œuvres complètes, La Pochothèque,
Steve Murphy, Rimbaud. Œuvres complètes, tome I : Poésies, édition critique, Honoré Champion, — contient la première édition du texte paru dans The Gentleman's Magazine
Philippe Rocher, « Composition et contrastes dans Les Effarés », L'Information Grammaticale, vol. 124, , p. 29-33 (lire en ligne)
Pierre Laforgue, « « Les Effarés », un poème misérable », Parade sauvage, vol. 31, , p. 17-30