Lionel Dricot tient le blog ploum.net depuis 2004 ce qui lui vaut d’être régulièrement considéré comme une personnalité influente sur le Web[a],[9],[10]. En mars 2013, il est classé 22ème belge francophone le plus influent sur le Web par le magazine Le Vif.[réf. nécessaire]
Sur son blog, il publie des billets consacrés à l'informatique et au logiciel libre, ainsi que des textes de fiction, notamment d'anticipation. Il y chronique également sa déconnexion progressive de tout média social[11].
Blog d’un condamné
En juin 2013, Lionel Dricot lance anonymement le « Blog d’un condamné » sur la plateforme Tumblr, blog racontant les derniers jours d’un narrateur atteint d’un cancer[b]. Ce blog aura un retentissement foudroyant dans les médias francophones, ceux-ci s’interrogeant sur l’aspect réel ou fictif, certains y voyant une action marketing ou une promotion de l’euthanasie[12],[13],[14],[15]. Identifié comme l’auteur du blog, Lionel Dricot reconnaît l’aspect fictif du blog d’un condamné sur son blog[c].
liblarch, une bibliothèquepython pour manipuler des structures de données complexes.
Vie politique
Lionel Dricot a été porte-parole du Parti Pirate et candidat à Ottignies-Louvain-la-Neuve en 2012 lors des élections communales et provinciales du dimanche 14octobre. Durant la campagne, il s’illustre en faisant des cumulets lors de son passage sur la télévision RTL-TVI, ce qui provoquera des remous au sein du Parti Pirate[2]. Le journal L’Avenir le classe troisième politicien du Brabant-Wallon le plus populaire sur Twitter[a]. La liste qu’il emmène à Ottignies-Louvain-La-neuve récolte 5,16% des voix, ce qui est le meilleur résultat du Parti Pirate belge. Les médias annoncent l’élection du premier pirate en Belgique mais, au décompte final, il manque 4 voix à Lionel Dricot pour être élu[d],[16]
En juin 2016, il fait partie d’un groupe de cinq cyclistes liés qui relient Louvain-la-Neuve à Bruxelles à vélo via le chantier du RER[e]. L’action a pour but de promouvoir la construction de voies cyclables et aura un retentissement important dans les médias belges. À cette occasion, Lionel Dricot reçoit des menaces de poursuites judiciaires de la part d’Infrabel[18],[19].
Son deuxième roman, Bikepunk, qui décrit une société post-apocalyptique où le vélo est devenu l'unique moyen de locomotion, invite « à nous questionner sur notre dépendance à la technologie », selon un critique[20].
Conférences
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↑L'invité.e : L'auteur PLOUM publie Bikepunk, dans Week-end Première sur La Première (, 14 minutes), Radio-télévision belge de la Communauté française, consulté le , la scène se produit à 04:51 : « Je pense vraiment que le vélo est un outil de bonheur et d’émancipation […]. Le vélo a cela de génial que, non seulement il est chouette mais, un vélo, chacun peut l’entretenir, peut le comprendre. Il est assez simple pour qu’on puisse être vraiment autonome avec son vélo. »