Marie-Thérèse de Bourbon-Parme, née le à Paris et morte le dans la même ville, est un membre de la maison de Bourbon-Parme. De nationalité française, elle porte le titre de courtoisie de princesse de Parme.
Elle milite au sein du parti carliste, des royalistes légitimistes de gauche, interdits en Espagne jusqu'à la mort de Franco. Son ancrage politique monarchiste, chrétien de gauche, pro-palestinien et socialiste autogestionnaire a intrigué de nombreuses personnalités, la menant à faire la rencontre d'André Malraux, de François Mitterrand, de Yasser Arafat ou encore d'Hugo Chávez, et lui valant le surnom de « princesse rouge »[1].
(es) Marie-Thérèse de Bourbon-Parme, José Carlos Clemente et Joaquín Cubero Sánchez (préf. Don Carlos Hugo de Borbón Parma), Don Javier : una vida al servicio de la libertad, Barcelone, Plaza & Janés, coll. « Así Fue : la historia rescatada », (ISBN978-84-01-53018-0)
(es) Marie-Thérèse de Bourbon-Parme, Desde Tánger : la transición que viene, Huerga y Fierro Editores, , 156 p. (ISBN978-84-8374-077-4, lire en ligne)
(es) Marie-Thérèse de Bourbon-Parme, Así fueron, así son, Planeta, , 239 p. (ISBN978-84-08-08896-7)
↑Antoine Delacou, « Elle avait passé son enfance au château de Bostz à Besson (Allier) : la princesse Maria Teresa de Bourbon-Parme s'est éteinte », La Montagne, (lire en ligne, consulté le ).
↑Philippe Bernier Arcand, « Les Bourbon-Parme dans les institutions d’enseignement du Québec », Histoire Québec, vol. 28, no 1, , p. 24–28 (ISSN1201-4710 et 1923-2101, lire en ligne, consulté le ).