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Mario J. Molina est né au Mexique, fils de Roberto Molina Pasquel, un avocat, et de Leonor Henriquez de Molina.
Mario Molina est considéré avec Andrés Manuel del Río (découvreur du vanadium) et Luis E. Miramontes (inventeur de la pilule contraceptive), comme l'un des trois plus importants chimistes mexicains. Lorsqu'il dénonce publiquement (dès 1974)[3] la destruction de la couche d'ozone par les gaz propulseurs des aérosols CFC, il fut accusé d'être un agent soviétique qui voulait détruire l'industrie américaine[4].
En 2002, Molina reçoit un Honoris Causa Degree de la part de l'Université des Amériques, à Puebla.
Jusqu'en 2005, il était professeur au département des sciences de la Terre, de l'atmosphère et des planètes au MIT.
Prix Nobel de chimie en 1995, il meurt le 7 octobre 2020, à l'âge de 77 ans des suites d'un infarctus aigu du myocarde, à Mexico. Comme un hommage du hasard à cet illustre chimiste mexicain, le prix Nobel de chimie de 2020[5] est décerné ce jour-là. Il est incinéré[6].
(en) M. J. Molina et F. S. Rowland, « Stratospheric Sink for Chlorofluoromethanes : Chlorine Atom-Catalysed Destruction of Ozone », Nature, vol. 249, , p. 810-812
↑(en) « for their work in atmospheric chemistry, particularly concerning the formation and decomposition of ozone »in Personnel de rédaction, « The Nobel Prize in Chemistry 1995 », Fondation Nobel, 2010. Consulté le 30 août 2010
(en) Aisling Irwin, « An Environmental Fairy Tale : the Molina-Rowland Chemical Equations and the CFC problem », dans Graham Farmelo, It Must Be Beautiful : Great Equations of Modern Science, Granta Books, (ISBN978-1-86207-479-8)
Liens externes
(en) Autobiographie sur le site de la fondation Nobel (le bandeau sur la page comprend plusieurs liens relatifs à la remise du prix, dont un document rédigé par la personne lauréate — le Nobel Lecture — qui détaille ses apports)