Monte Carlo (série)
Monte Carlo
Monte Carlo est une mini-série télévisée de 1986 de CBS avec Joan Collins, d'après le roman éponyme de Stephen Sheppard[1] publié en anglais en 1983 et en français en 1988[2]. L'histoire est celle d’une chanteuse qui espionne pour l'Intelligence Service pendant la Seconde Guerre mondiale. Cette série télévisée ne doit pas être confondue avec le film homonyme Monte Carlo de 2011. RésuméL’action se passe pendant les premières années de la Seconde Guerre mondiale[3],[4]. Affairistes, riches oisifs et juifs fuyant le nazisme ont trouvé refuge dans la réputée neutre Principauté de Monaco, alors que la Gestapo y étend son pouvoir. Dans cet environnement cosmopolite, la célèbre chanteuse russe Katrina Petrovna (Joan Collins), dont le mari a été assassiné par les nazis, espionne pour le compte des Britanniques. Elle séduit un général italien, prend des photos en zone interdite, fait évader un aviateur américain, etc. Mais, trahie par son jardinier, elle tombe dans les griffes de l’ignoble Pabst, chef de la Gestapo locale (Peter Vaughan). In extremis, son amant, l’écrivain américain Harry Price (George Hamilton), la libère avec l’aide de résistants français. Fiche technique
Distribution
A propos de la sérieLe tournage a eu lieu à Monaco, principalement à Monte-Carlo et sur ses lieux emblématiques que sont le Casino et l’Hôtel de Paris, ainsi que dans les communes avoisinantes de la Côte d’Azur[4]. Le budget a été de 9 millions de dollars US[3],[4]. Les petits rôles sont tenus par des acteurs français, Henri Garcin, Jacques Marin, Michel Modo, Jean-Marie Rivière, Claudine Berg… L'équipe technique est également en partie française, et la SNCF est remerciée pour son assistance dans la production et sur les lieux de tournage. Peter Holm, producteur exécutif et acteur n’apparaissant que quelques secondes dans le rôle du mari de Katrina, est encore pour quelques mois l’époux de Joan Collins, leur mariage de 1985 devant être annulé en décembre 1986. Le scénario reprend les ingrédients de la série précédente de la productrice et vedette Joan Collins La Griffe du destin (Sins) : intrigues politiques et amoureuses, trahisons, vengeances, abominations nazies, persécutions juives et héroïsme anglo-saxon, le tout dans un contexte de vie mondaine et de grand luxe, avec palaces, restaurants huppés et Rolls-Royce, sans oublier les dizaines de toilettes aussi somptueuses que variées de Dame Joan[3]. Éditions vidéo
Notes et références
Liens externes
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