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Le posthumain littéraire[1] désigne les figures données aux posthumains dans la littérature[2]. En littérature, le posthumain renvoie ainsi à « toute espèce issue ou ayant un lien de proximité avec l’humain, qui transcende ce dernier par son potentiel d’action et son degré de liberté[1] ».
D'après Amaury Dehoux, le posthumain peut renvoyer à trois catégories différentes : le posthumain issu d’une opération de modelage ; le cyborg, homme-machine ; et l’intelligence artificielle[3]. Amaury Dehoux développe une théorie littéraire du posthumain en proposant l'idée de « roman du posthumain[4] ». Le concept catégoriel de « Littérature du posthumain[5] » semble également s'imposer pour désigner un nouveau genre littéraire qui émerge corollairement à l'intérêt grandissant pour le posthumain et les transhumanismes à l'époque contemporaine.
Dans le cadre des mouvements transhumanistes, le posthumain représente le résultat possible de l'évolution de l'espèce humaine grâce aux nouvelles technologies (NBIC). Il peut également désigner l'émergence d'une intelligence artificielle supérieure qui submergerait, dans une certaine mesure, l'humain. « Si l’on admet l’hypothèse du posthumain, cela signifie sans doute aussi qu’il faut définir les limites de l’humain dans le temps et dans l’espace[6] »
Une autre signification du terme peut se retrouver dans les discours du posthumanisme critique, issu du postmodernisme.
Le posthumain est un concept littéraire et philosophique polysémique[7].
Notes et références
↑ a et bMohamed Sami Alloun, « Gnoséologie de la résistance dans le récit du posthumain. Politique et transhumanisation chez Mireille Gagné et Alain Damasio », RELIEF - REVUE ÉLECTRONIQUE DE LITTÉRATURE FRANÇAISE, vol. 17, no 1, , p. 50–65 (ISSN1873-5045, DOI10.51777/relief17559, lire en ligne, consulté le )
↑Mohamed Sami Alloun et Bachir Bouattou, « Le genre du posthumain : des transhumanismes à la théorie francophone », Multilinguales, no 19, (ISSN2335-1535, lire en ligne, consulté le )
↑Xavier Lambert, « Le posthumain : Perspective ou impasse », dans PostHumains : Frontières, évolutions, hybridités, Presses universitaires de Rennes, coll. « Interférences », , 195–204 p. (ISBN978-2-7535-5776-5, lire en ligne)
↑Marina Maestrutti, « Chapitre 3. Humain, transhumain, posthumain. représentations du corps entre incomplétude et amélioration », Journal International de Bioéthique, vol. 22, no 3, , p. 51 (ISSN1287-7352 et 2102-5169, DOI10.3917/jib.222.0051, lire en ligne, consulté le )