En 1879, s'installent au début de la rue, des industries de boyauderie[4].
Au début du siècle, s'y établirent des jardins ouvriers sur les pentes du fort d'Aubervilliers[5].
En 1944, pendant les combats de la Libération, la division Leclerc stationne sur la N 2 (carrefour Jean-Jaurès/Danielle-Casanova).
Géologie
La commune repose sur un sous-sol de nature sédimentaire[6]. La rue est située sur un sous-sol peu stable: la dissolution dans les gypses tertiaires entraînant la formation de cloches de fontis:
Le , un cantonnier effectuant une réparation à la chaussée de la rue, constata la formation d'une cavité[7],[8];
En 1960, eut lieu un effondrement à la hauteur du numéro 156[9]. Le volume de la cloche atteignait 1.500 mètres3 pour un diamètre à la base de 15 mètres et une hauteur de 15 mètres[10].
Cité Émile-Dubois, dite cité des 800[13], dont la barre HLM Charles-Grosperrin a fait en 2021 l'objet d'une exposition sur le thème du logement populaire dans les années 1950[14],[15],[16].