L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans.
Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[1]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[2],[Note 1].
En 2014, la commune comptait 260 habitants, en évolution de +6,12 % par rapport à 2009 (Isère : +3,89 %, France hors Mayotte : +2,49 %).
Saint-Sébastien est l'un des rares villages de France où il se trouve un temple protestant mais pas d'église catholique.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Vestiges du château de Châteauvieux
Le château fort de Morges, dit Châteauvieux, du XIIe siècle, se trouve à l'emplacement d'une motte castrale (XIe siècle). Au Moyen Âge il domine le bourg fortifié et l'église paroissiale de Morges. Le château fort est récupéré lors des guerres de religion. Aujourd'hui la butte du donjon est occupée par une antenne RTDF[5].
Il est cité au XIIIe siècle Mota.
Le temple protestant (en cours de rénovation).
On n'y célèbre pas de cultes réguliers mais l’Église Réformée de France, paroisse de Trièves et Mathésine, centrée sur Mens et dont Saint-Sébastien dépend, le prête régulièrement pour des expositions. Des mariages y sont parfois célébrés.
Personnalités liées à la commune
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↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN2-911148-66-5), pp. 702-703