Son importance sur le marché est d'environ 139,9 milliards de yens (± 1,15 milliard d'euros) et son effectif éditorial est de 749 personnes[2].
Historique
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Shūeisha est fondée en 1925 par Shōgakukan. En 1973, Shūeisha fonde elle-même la maison d'édition Hakusensha. Ces entreprises désormais indépendantes forment aujourd'hui, avec une dizaine d'autres maisons d'édition, le keiretsu Hitotsubashi, l'un des plus grands acteurs du marché de l'édition au Japon.
En 2007, l'éditeur lance un site Internet consacré aux « Vomics(ja) », combinaison entre les cases d'un manga et la voix de doubleurs[3].
Le , Shūeisha lance Manga Plus, une application pour smartphone permettant de découvrir en simultané avec le Japon les nouveaux chapitres de près d'une trentaine de ses titres. Une dizaine de séries déjà terminées sont également disponibles, leurs chapitres étant mis en ligne au fur et à mesure. Le service, disponible en France, est prévu pour proposer des mangas en anglais et en espagnol[4].
Le numérique représentant une majorité du marché du manga au Japon, la Shueisha dispose d'une plateforme de lecture numérique : Manga Plus. Celle-ci est accessible à l'étranger, en de nombreuses langues (dont en français).
Pour pallier le manque à gagner lié à la Scantrad, l'éditeur multiplie les partenariats avec des solutions légales. Via ses titres disponibles chez Kana (maison d'édition), il a rejoint en janvier 2022 la plateforme de lecture à l'abonnement française Mangas.io[5].