Tchakidjebe est la plus peuplée des six localités où l'on parle le dugvor, une langue tchadique du groupe biu-mandara[5].
Sur le marché local on parle le dugvor, le français et le peul[6].
Tchakidjebe possède une école publique où l'enseignement est donné en français, mais deux instituteurs de langue maternelle dugvor assurent la traduction en cas de besoin (2004).
Histoire
Dans la nuit du 4 au , trois religieux – deux Italiens et une Canadienne – de la paroisse catholique Saint-Marc de Tchéré-Tchakidjebe sont enlevés[2], puis libérés le 1er juin[7].
Notes et références
↑Troisième recensement général de la population et de l'habitat (3e RGPH, 2005), Bureau central des recensements et des études de population du Cameroun (BUCREP), 2005.
↑ a et b« Mgr Samuel Kleda réconforte les religieuses de Tchéré-Tchakidjebe », L'Effort camerounais, [1], consulté le 28 juin 2016
↑(en) Edward Brye and Elizabeth Brye, Rapid appraisal sociolinguistic research of Dugwor, SIL Electronic Survey Reports, 2004, p. 4 [2]
↑Troisième recensement général de la population et de l'habitat (3e RGPH, 2005), Bureau central des recensements et des études de population du Cameroun (BUCREP), 2010