Carrillo est né le et a grandi à Lawrence, dans le Massachusetts[3],[4]. Dans sa jeunesse, Termanology écoute du rap new yorkais comme le Wu-Tang Clan, The Notorious B.I.G. ou Gang Starr. Rapidement, il sort de l'obscurité et sort sa première mixtape en 2001. Il voyage beaucoup entre Boston et New York où il devient vite proche de Statik Selektah qui produit ses mixtapes.
En 2003, il rencontre DJ Premier qui voit rapidement en lui une future street star, et par le fait Termanology multiplie les collaborations avec Saigon, Reks, The Alchemist, Bun B et ST Da Squad. Termanology possède un flowold school et une technique différente des autres MCs, mais l'attente de son premier album est très importante.
Au côté du producteur originaire du New Hampshire DC the MIDI Alien, Carrillo publie un album indépendant, Out the Gate, en 2005[5],[6]. Une amitié avec Krumbsnatcha, membre de la Gang Starr Foundation, mène à une rencontre avec DJ Premier, fan de This Is Hip Hop. Le single de Termanology, Watch How It Go Down, publié en 2006, et produit par DJ Premier, se popularise à l'échelle nationale[7],[8],[9] et internationale[10],[11], et le rappeur paraît dans la colomne Show and Prove du magazine XXL[12].
Les mixtapes du rappeur attirent également l'attention de la presse spécialisée. Elles incluent Hood Politics Volumes I–VI[17],[18],[19],[20], son projet avec les beats de J Dilla, If Heaven Was a Mile Away[21],[22],[23] et la compilation de ses mixtape cuts, Jackin' for Beats[24].
↑(en) Russell Contreras, « The Next Beat Poet », sur Boston Globe, (consulté le ).
↑(en) « Hip-Hop, Rap Interviews : Termanology », sur Riot Sound (consulté le ), Myself, I'm Puerto Rican and French. It's crazy being that mixture because I'm not only Spanish, I'm Puerto Rican and French. I mean, you never heard of a French rapper; the only white rapper really that matters is Eminem. All the rest of them is just like trying to get on but ain't never really got it poppin'. Well, Paul Wall is doing his thing right now too..