Motif : Deux critiques, l'une pas centrée, l'autre sans date ; notoriété semblant faible et non pérenne
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En 1997 à Paris, Hervé offre une bague à Louise avant de partir un mois avec femme et enfants. Louise achète une alliance pour ne plus qu'on l'importune et écrit dans son journal pour Hervé : « Je t'ai épousé ». Elle s'éprend de Philippe, marié et qui n'est à Paris que la semaine mais elle rompt. Hervé revient et dit que sa femme est enceinte. Louise rompt. Elle retourne avec Philippe qui avoue ne pas être marié.
Réception critique
Pour Pierre Marcelle, cette nouvelle fait partie des six publications de l'autrice en 1997 et, en tant que telle, n'est que « le même livre recommencé » ; pour lui, chacun des six livres est un « produit manufacturé sous-ensemble féminitude, catégorie amours estivales contrariées, option C’est-dur-de-vieillir-en-restant-éternellement-aimable »[1].
Au contraire, ActuaLitté considère qu'il s'agit d'un « délicieux et poignant marivaudage [...] raconté avec humour et tendresse »[2].
Notes et références
↑Pierre Marcelle. Face aux piles. Le ghetto Chapsal. Libération, 22 octobre 1998. Lire en ligne
↑Un été sans toi. Récit. AcuaLitté (sans date). Lire en ligne