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Les quatre épisodes de 58 minutes donnent exclusivement la parole aux victimes. Le documentaire met d'abord en avant l'analyse que celles-ci font des mécanismes de la violence sexuelle[1]. Le documentaire donne aussi une place centrale à des extraits d'œuvres lues, et consacre son troisième épisode à la fabrique « d'autres récits » autour des œuvres de Mathilde Forget[2], Marcia Burnier, Coralie Fargeat, Andréa Bescond, Abdellah Taïa et Annie Ernaux[3].
Dans le troisième épisode, Annie Ernaux, avec Mathilde Forget et Clémence Allezard, revient sur son récit Mémoire de fille et qualifie pour la première fois l'événement qu'elle y relate de viol[4],[5],[6],[7].
Notes et références
↑« Sur France Culture, raconter le viol pour « sortir du huis clos de l’intime » », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
↑Noémie Marignier, « « Est-ce un viol ? » Catégoriser les violences sexuelles dans les récits ordinaires », Genre, sexualité & société, no 29, (ISSN2104-3736, DOI10.4000/gss.8319, lire en ligne, consulté le )
↑Anne Grand d’Esnon, « “Vous avez raison et maintenant j’ai raison de dire viol” », Revue critique de fixxion française contemporaine, no 24, (ISSN2033-7019, DOI10.4000/fixxion.2085, lire en ligne, consulté le )
↑Noémie Trovato, « Viol, violeur, violée : qualification et redéfinition sur Twitter. De #MeToo à #MauvaiseVictime », Communication & langages, vol. 219, no 1, , p. 81–104 (ISSN0336-1500, DOI10.3917/comla1.219.0081, lire en ligne, consulté le )