Vittorio MascheroniVittorio Mascheroni
Gian Vittorio Mascheroni, né le à Milan et mort le dans la même ville, est un auteur compositeur italien[1]. BiographieVittorio Mascheroni est né à Milan. Il étudie la composition au conservatoire Giuseppe Verdi, mais abandonne les études avant le diplôme, ce qui lui vaut d'être désigné comme le « il Maestro senza diploma » (« maître sans diplôme »). Il est le cousin de Ada Negri et parent de Lorenzo Mascheroni. Il devient un compositeur éclectique de la musique italienne entre les deux guerres. Il commence sa carrière vers 1915 en produisant de la musique pour les salles de bal d'inspiration jazz et se dédie à l'opérette[2]. En 1927, il compose les premiers succès en musique Adagio Biagio et Tre son le cose che voglio da te (paroles de Angelo Ramiro Borella)[2]. D'autres chansons à succès sont Il tango della gelosia (1928), Arturo (1928), Stramilano (1929), Ziki-Paki-Ziki-Pu (1929), Si fa... ma non si dice!, (1930, sur des rythmes fox-trot), Lodovico (1931), Bombolo (1932), Fiorin fiorello (1938), Signorine non guardate i marinai (1935). Vittorio Mascheroni interrompt sa production lors de la Seconde Guerre mondiale et recomence en 1946 avec Il mio nome è donna, suivie de Addormentarmi così (1948), Autunno (1949), Amami se vuoi deuxième, derrière après Aprite le finestre au Festival de Sanremo en 1956 et représentant l'Italie comme deuxième chanson, au Concours Eurovision de la chanson 1956[3], Giuro d'amarti così (1958), Una marcia in fa (1959). Il s'associe avec le parolier Mario Panzeri, pour Papaveri e papere (1952) et Casetta in Canadà (1957)[2]. Filmographie partielleMusique de film
Notes et références
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