Véronique Beaulande-Barraud est spécialiste d'histoire médiévale religieuse et d'histoire de la justice de l’Église.
Étudiante à l’université de Reims-Champagne-Ardenne, élève de Claude Gauvard, elle a obtenu l’agrégation d’histoire en 1996[1] et a soutenu en 2000[2] une thèse de doctorat publiée en 2006 sous le titre Le malheur d’être exclu ? : excommunication, réconciliation et société à la fin du Moyen Âge (Publications de la Sorbonne)[3],[4].
En co-direction avec J. Claustre et E. Marmursztejn, Fabrique de la norme : lieux et modes de fabrication des normes au Moyen Âge et à l’époque moderne, Presses universitaires de Rennes, 2012
En direction avec Martine Charageat, Les officialités dans l'Europe médiévale et moderne : des tribunaux pour une société chrétienne : actes du colloque international, Troyes, 27-29 mai 2010, Turnhout, Brepols, coll. « Ecclesia militans », , 340 p. (ISBN978-2-503-55149-4 et 2-503-55149-1).
En direction, Église, Mémoire(s), Éducation. Mélanges offerts à Jean-François Boulanger, Reims, Épure, 2014
Les péchés les plus grands. Hiérarchie de l'Eglise et for de la pénitence (France, Angleterre, XIIIe – XVe siècle), Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2019.
Notes et références
↑« Agrégations Histoire », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
↑Claire Sonnefraud, « Véronique Beaulande. Le malheur d’être exclu? Excommunication, réconciliation et société à la fin du Moyen Âge. Avant-propos de Claude Gauvard », Bibliothèque de l'École des chartes, vol. 165, no 1, , p. 227–229 (lire en ligne, consulté le )
↑David Dominé-Cohn, « Véronique Beaulande, Le Malheur d’être exclu ? Excommunication, réconciliation et société à la fin du Moyen Âge », Cahiers de recherches médiévales et humanistes. Journal of medieval and humanistic studies, (ISSN2115-6360, DOI10.4000/crm.2706, lire en ligne, consulté le )