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Le War Heritage Institute (WHI) est une organisation publique belge regroupant plusieurs institutions fédérales, musées et sites qui travaillent sur le patrimoine et la mémoire des guerres et des conflits en Belgique, ou dans lesquels la Belgique a été impliquée.
Son but est de conserver et présenter au public un héritage militaire riche de plusieurs sites historiques et de l'une des plus importantes collections au monde d'objets et d'oeuvres d'art en lien avec l'histoire militaire[1]. Le WHI a également pour mission de transmettre la mémoire des conflits et d'oeuvrer à la recherche scientifique dans différents domaines[2].
Histoire
Le projet de création d'une institution pour maintenir vivante la mémoire des guerres et conflits dans lesquels les Belges ont été impliqués a été annoncé en novembre 2016 par le ministre de la DéfenseSteven Vandeput ( N-VA )[3]. En avril 2017, la Chambre des représentants belge a approuvé un projet de loi créant le War Heritage Institute, une organisation parastatale regroupant quatre institutions indépendantes auparavant sous la tutelle de la Défense[4]. Parmi les quatre anciennes institutions qui composent le WHI, on trouve le Pôle historique de Défense, auparavant chargé de la gestion de certains sites historiques sur le territoire belge. Certains de ces sites n'ont pas formellement intégré le WHI et, comme le Fort d'Eben-Emael, sont exploités par des tiers[5]. Le WHI a été officiellement inauguré par le ministre Vandeput en mai 2017[6].
Le WHI dispose de plusieurs sites en Belgique, mais son siège principal se trouve au Musée royal de l'Armée, à Bruxelles.
Musées et sites
Le WHI est issu de la fusion des institutions suivantes :
Depuis 2014, des discussions ont lieu pour que le WHI puisse gérer un espace muséal consacré à l'aviation sur la base aérienne de Beauvechain[13]. Le WHI est également présent sur la base militaire d'Ypres, sans que le site ne soit encore ouvert au public. Jusqu'en 2024, le site du Gunfire à Brasschaat était officiellement ouvert au public, mais en cours de déménagement. Le site ne fait depuis plus partie des musées visitables du War Heritage Institute[14].